Jour 4

Alors que je fais mon entrée dans la cuisine, je vois qu'Athéna est déjà présent. « Aah... le soleil est déjà présent. », dis-je en référence à elle. Ce matin, comme tous les matins, d'ailleurs, je suis de très bonne humeur. Je remarque alors qu'elle a préparé des petits délices, ce matin. Elle a combiné le salé et le sucré. Si il y a des amis britanniques parmi nous, ils vont adorer. « Tu es un amour. ». Je me sers alors des crêpes, une salade de fruit ainsi que du jus d'orange, puis je commence à déguster. « C'était mouvementé pour toi hier soir... ». Je vais essayer de comprendre un peu ce qu'il s'est passé pour arrondir les angles.

Elle me raconte alors sa version des faits... il y a des choses qu'elle n'a pas aimé et qui ont été assez mal prises, certainement à cause de l'égo. Cet égo qui peut bêtement te fermer des portes, et plus t'handicaper qu'autre chose. Dans ma vie, j'ai appris à ne pas réfléchir avec, car ça ne t'apporte que des emmerdes. « A Hamza et Arthur... mais dans ce cas, comment a-t-elle fait pour être au courant ? ». Je fais alors le cheminement, et je me souviens que ce premier était dans la même maison que Victoria... donc peut-être qu'il y a eu quelques conversations. Je crois comprendre, maintenant... certains ont l'air d'aimer les embrouilles. Je pense qu'il va souvent falloir jouer le rôle de médiateur, dans cette maison. Elle me dit ensuite qu'elles ont saccagé trois lits dans la première chambre. « Ca part loin quand même... ». Je marque un pose. « Je pense que Santana a été un peu blessée... et qu'elle n'a pas réussi à se contrôler. Je suis certain que les choses vont s'arranger, j'irai lui parler pour éclaircir un peu la situation. ». Oui, j'aime soigner les bobos.

J'entre dans la cuisine après m'être parfaitement maquillée d'un peu de mascara, d'un trait de liner s'étendant jusqu'après mon oeil et d'un rouge à lèvre pourpre mate. Je vois que Corentin - dont j'ai déjà fait connaissance, est dans la cuisine avec une belle jeune femme rousse, que je crois reconnaître des portraits du confessionnal. Athéna, si je ne me trompe pas. Je décide de la saluer en me présentant, au cas ou : « Salut, moi c'est Léna, enchantée ! ». Je m'approche ensuite de Corentin, puis lui fais la bise, avant de récupérer une pomme, un verre d'eau, et de m'asseoir prêts d'eux. Je tends l'oreille pour comprendre de quoi ils discutent, mais ils semblent plutôt silencieux, Athéna ne disant rien ... Je demande donc, un peu déçue : « Je vous ai coupé ? Vous voulez que je m'en aille ...? ».

Donc Athéna ne veut pas que j'y aille parce qu'elle m'envoie, mais plutôt parce que je le fais de ma propre initiative. « Ne t'inquiète pas, c'est ce que je comptais dire à la base. ». Je sais gérer ce genre de conflits, et derrière son accent québécois a l'air de se cacher un très fort caractère. Alors qu'on discute, la douceur incarnée fait son entrée dans la cuisine : je l'appelle Léna. Elle me fait alors la bise. « Je te remercie pour dimanche soir. ». Lorsque j'étais bourré, elle a su quoi faire et m'est immédiatement venu en aide. Si elle n'avait pas été là, je pense que je me serais littéralement écroulé... et là, les conséquences auraient pu être largement plus dramatiques. Elle s'installe alors, commençant à déguster son petit déjeuner, et a l'impression de déranger. « Ah non, t'inquiète pas, tu ne déranges pas... ». Je pense que c'est une fille qu'il va beaucoup falloir rassurer. « ... on parlait des tensions. Il y en avait beaucoup, chez vous ? ». Pour que Hadès les désigne de cas sociaux... ça devait être quelque chose.

Avant toute chose, il me remercie pour mon aide, lors de la soirée dans l'inter-dimension, et je souris sincèrement en glissant ma main derrière son épaule « Aucun problème, c'était tout à fait naturel, je ne laisserais jamais quelqu'un dans la détresse comme tu l'étais, je dis en tapotant légèrement avec ma main dans son dos, mais la prochaine fois, tu feras plus attention, pas vrai ? ». Enfin, la discussion dérive sur les tensions qu'il y a eu, certainement la veille et auxquelles je n'ai pas assisté, curieuse, je demande « Qu'est-ce qu'il s'est passé hier, encore ...? un peu lasse, je soupire avant de croquer dans ma pomme. Il me demande ensuite si il y avait des tensions dans ma dimension et je manque de m'étouffer, je ris nerveusement et c'est un peu amer que je réponds : demande plutôt s'il y avait des bons moments, ce sera plus facile pour moi de les compter ... Ça n'a été que trois jours d'hystérie ... Je n'en pouvais plus ! Heureusement que c'est terminé, à présent ». Je soupire une nouvelle fois plus lui lance un petit regard désespéré. S'il savait que je me suis emporté au point de fondre en larmes, peut-être qu'il aurait une toute autre image de moi ... Je finis par lui retourner la question, avant de le regarder avec un petit sourire peiné, les tensions ont tellement eu d'importance dans ma dimension, que j'ai du mal à en rire.

J'ai faim, j'ai la dalle putain, je veux manger, je veux grailler, alors direction la cuisine pour se ptéer le bide. Il y a des gens que je salue logiquement « Salut moi c'est Mattéo enchanté, blablabla. » et je me dirige ensuite vers le frigo, je l'ouvre et là mes yeux s'ébahissent. « Ah ouais ils nous régalent ici. » fis-je avant de me prendre une bouteille de coca et de m'assoir près des autres. Ils nous régalent pas qu'alimentairement parlant, il y a aussi pas mla de meufs fraiches, dont une ici présente.

Ce qu'elle me dit confirme une fois de plus qu'elle a tout pour elle. Elle m'avertit ensuite en me disant que je dois faire plus attention la prochaine fois... « Oui, ne t'inquiète pas, je ferai attention... »... jusqu'à ma prochaine cuite. Ensuite, on parle des tensions, et elle demande ce qu'il s'est ENCORE passé hier. Visiblement, elle est lassée... « Santana et Victoria se sont crêpées le chignon avec Anastasie et Athéna. Et c'est parti assez loin : elles ont détruit trois lits, apparemment. ». Aujourd'hui, je compte bien arranger ça. Elle me parle ensuite de l'ambiance qu'il y avait là bas, je comprends alors son grand désespoir. Trois jours d'hystérie ? Compter les bons moments est plus facile ? « Ne t'inquiète pas, avec nous, tu seras bien, tu verras. Je suis ici pour faire régner la paix et l'amour. ». J'ai envie de la protéger, vraiment. Elle me retourne alors - l'air dépité - la bonne ambiance. Je n'ai pas envie de lui cracher notre bonheur à la gueule... je vais devoir être un peu soft. « Chez nous, il y avait vraiment une bonne vibe, une réelle alchimie. ». On se passera de lui dire que c'est une alchimie sexuelle, hein. Je ne pense pas qu'elle ait besoin de connaître ce genre de détail. Ensuite, un garçon aux cheveux longs fait son arrivée dans la cuisine. Matéo, qu'il s'appelle, très bien. « Moi, c'est Corentin, enchanté de faire ta connaissance. ». Il ouvre ensuite le frigo et est ébahi. « Chez vous, vous étiez rationnés ? ». Il a l'air vraiment content de voir tant de nourriture. Ca me fait marrer. Il a l'air simple et bon délire, je pense qu'on n'aura pas de mal à s'entendre.

J’arrive dans la cuisine et salut tout le monde par le biais d’un sourire et d’un « Salut! ». Je pars ensuite serrer la main aux hommes et faire la bise aux femmes. Je souris a la brune quand je m’approche d’elle. « Hadès, enchanté. C’est bien toi Léna la survivante de la première dimension? ». Elle a eu énormément de courage vu les décérébrés présents la veille.

Il me promet qu'il fera attention, et nous échangeons un regard entendu avant qu'il ne m'explique les histoires de la veille, je soupire une énième fois et recoiffe une mèche qui barre mon visage. « Bon, maintenant que nous sommes dans une grande maison, je pourrai fuir les conflits beaucoup plus facilement » ... J'espère que nos vieux démons ne nous suivront pas jusqu'ici, ou, à défaut, qu'ils ne seront pas exclusifs à la première dimension qui était la mienne ... Il m'explique ensuite que dans son groupe, l'ambiance était au beau fixe, qu'il y avait une alchimie, même. Je le regarde avec des yeux émerveillés : « J'aurais donné cher pour le voir, ça ! » je dis avec un petit sourire, avant que Mattéo n'entre dans la cuisine et se présente. « Enchantée, je dis en lui claquant deux bises, moi c'est Léna ! » je le laisse s'approcher du frigo, faire une remarque sur tout ce qui se trouve à l'intérieur, pour en sortir une ... bouteille de coca. Interpellée, je le regarde en arquant un sourcil, laisse Corentin parler d'abord, puis je poursuis. « Si tu commences comme ça, c'est avec dix kilos de plus que tu vas sortir, tu sais ? » un petit sourire se dessine sur mes lèvres, bien qu'au fond, je le pense vraiment. C'est alors qu'Hadès nous rejoint, je le regarde entrer. Il est imposant, grand, beau. Il serait videur de boite de nuit que ça ne m'étonnerait pas. Il s'approche ensuite de moi et se présente entre deux bises, puis il me demande si je suis bien Léna, avant de me qualifier de survivante. Un sourire crispé apparaît alors, puis je jette un regard à Corentin en disant « Si ça c'est pas la preuve que je n'exagérais pas, je me retourne ensuite vers Hadès, mais oui, je suppose que c'est bien moi ! Après, ne vous faites pas avoir, il y avait des gens sacrément gentils dans ma dimension, aussi ! je dis comme pour me donner de l'espoir à moi même. Chani et Arthur, si vous ne les connaissez pas, valent le détour, ils sont adorables ! » je dis en toute franchise, pour montrer qu'ils m'ont soutenu dans mon calvaire.

A mon tour d'aller dans la cuisine, attiré par le bruit qu'il s'y fait. J'entre à l'intérieur, j'y vois des connaissances, Léna et mon trio. Je vois aussi une nouvelle tête, d'ailleurs je suis assez surpris, celui-ci boit du Coca-Cola tôt le matin. Je ne sais pas comment il fait. " Bonjour tout le monde. " Je ne trouve pas la nécessité de me présenter particulièrement, je me contente donc d'un simple salut. Je pars prendre quelques fruits, je vais m'en contenter pour ce matin. Puis je m’assied près de Léna, lui fait la bise, avant de commencer à manger. J'écoute rapidement un bout de leur conversation, l'attention est plutôt concentré sur ma camarade. " Ça parle encore de notre dimension ici ? " Leur demandais-je, par simple curiosité.

Me voilà dans la cuisine de la vraie maison, j'ai encore un peu besoin d'émergé malgré ma petite douche, j'aperçois qu'il y a du monde, je fais un p'tit signe de la main avec un sourire en ajoutant un « Coucou tout l'monde ! », avant de finalement faire la bise à chacun d'entre eux.

Je me permets ensuite de prendre une tasse propre, avant de prendre le peu de café qu'il reste. Je comprends que ça parle un peu des évènements de la veille et des éléments perturbateurs de la saison qui n'ont pas décidé de perdre de temps. Je me demande d'ailleurs si tout ça n'est pas le fruit d'une mission de La Voix !

Bingo! Cette brune était bien Léna. « Heureux de faire ta connaissance guerrière Léna, le bel homme ci-présent m’a dit plutôt du bien de toi. » avouais-je en regardant Corentin. « Blair et Arthur m’ont laissé une super impression effectivement, heureux d’être en trio avec ce dernier. ». Il m’a l’air d’être, si je m’exclus, le plus intelligent de cette maison. Du moins de ceux que j’ai vu. Ce dernier arrive d’ailleurs, ce qui me fait sourire. « Salut Manu! » dis-je en faisant référence a notre discussion de la veille.
Hamza arrive a son tour, je le salue aussi.

Alors que je viens de dire d'Arthur qu'il était quelqu'un qui valait le détour, le voilà qui rentre dans la cuisine. Je lui fais un large sourire alors et il vient presque instantanément me faire la bise et s'installer à mes côtés en demandant si on parle encore de notre dimension. « La tristement célèbre première dimension, oui ... Mais je disais que sans Chani et toi, je n'aurais certainement pas tenu aussi bien que je l'ai fait ... je marque une pause, si on part du principe que j'ai tenu ». Oui, parce que bon, j'ai quand même craqué, je le reconnais. Mais il fallait que j'évacue tout ça, et ça a plus ou moins marché, je dois le reconnaître. Hadès, ayant eu la confirmation que j'étais bien la fameuse Léna qu'il avait en tête, m'explique que Corentin a parlé en bien de moi, je jette un regard au principal intéressé, puis souris bêtement, baissant les yeux vers le sol ensuite, avant de les relever vers Hadès. « Je n'ai pas trop eu l'occasion de parler avec Blair, mais elle a l'air d'être gentille, effectivement ! » je dis avec un large sourire ensuite. C'est finalement Hamza qui nous rejoint, je le salue avec un sourire, puis décide de demander à l'ensemble des habitants présents ici « La grande maison vous plait ? ».

(omg j'ai raté combien de rep moi ? )
Léna a vraiment l'air désespérée. Ca avait l'air d'être l'enfer chez eux. Vraiment, je n'aurai pas aimé être à sa place. C'est un petit sucre, cette fille... je ne sais même pas si j'oserai la séduire. J'ai plus envie d'être son meilleur ami que son plan drague. Lorsqu'Hadès fait son arrivée, je le salue, et il appuie la version de Léna. Bon bah visiblement, ce qui se dit sur cette dimension est bel et bien vrai. Elle nous conseille aussi de ne pas nous faire avoir, car il y a des personnes gentilles chez eux. « Chani en est le meilleur exemple. ». Arthur, aussi ? Lorsqu'Arthur arrive, je le salue, et il nous demande si ça parle encore de leur dimension. Ce à quoi j'acquiesce. Lorsqu'Hamza arrive, je lui dis : « Corentin, enchanté... Hamza, je suppose. ». Victoria arrive, je la salue pareil. Bon, j'ai terminé mon petit déjeuner, je bouge. Je salue tout le monde, juste avant, bien entendu... et je fais signe à Victoria qu'il faudra qu'on se parle.

En arrivant dans la cuisine, je suis bien plutôt accueilli, il faut le dire. D'ailleurs Hadès, mon nouveau partenaire, m'accueille en fsaisant référence à la blague d'hier qu'il m'a faite. " Eh oh, c'est monsieur le Président. T'iras faire ta révolution lorsque t'auras des diplômes. " Lui répondais-je dans la continuité de sa blague. La conversation dans la cuisine tourne donc réellement autour de la première dimension. Léna me dit d'ailleurs que sans moi ou Chani, elle n'aurait pas tenu sous cette ambiance pensante. Ça a le mérite de me toucher. Mais juste un peu hein, pas trop. Je la regarde donc en souriant. Tu te trompe, je me suis rendu compte que t'as un mental d'acier, plus que tu ne le crois. Ne te dévalorise pas, franchement. " Léna aurait pu être quelqu'un que je n'aurais pas apprécié au départ, au premier abord elle a l'air un peu fragile et peu sûr d'elle, donc tout ce que je n'aime pas. Mais notre séjour dans la 1ère dimension m'a permis d'ouvrir les yeux et comprendre qu’elle est beaucoup plus forte qu'elle ne le laisse croire. Et sa réponse à Brandon hier en était la confirmation. " Ne parlons plus de dimension maintenant, c'est terminé. On ne forme tous plus qu'une seule et même dimension maintenant. " Dis-je à tout le monde, souriant. Je suis assez agacé qu'on me lie toujours à la 1ère dimension, même si les gens là-bas y sont sympa. C'est du passé maintenant, regardons le futur voyons. On est très vite rejoint par Hamza, un garçon sympathique avec qui j'ai discuté rapidement durant la soirée inter-dimensions, puis par Victoria qui s'est faite très remarquée hier soir. " Salut Hamza, Victoria. " Je fini mes fruits, je les jette donc à la poubelle avant de regagner ma place. Oulà, Victoria se sent agressée alors que personne n'a parler d'elle... Je ne comprends pas.

Corentin se présente à moi, j'estime que c'est assez inutile, néanmoins c'est notre premier vrai contact, c'est donc beaucoup mieux ainsi. « Enchanté Corentin. » lui dis-je avec un petit sourire amical. « Oui c'est Hamza. » lui confirmais-je avant de lui demander « Tu tiens le coup ? Déjà quatre jours qu'on est enfermé et loin de nos proches. Personnellement, le manque commence à se faire ressentir. » autant le manque des proches, que l'abstinence.

Je bois une petite gorgée de ma tasse de café, histoire de bien me réveiller. Léna nous demande si la grande maison nous plaît. « Honnêtement, j'aime beaucoup, il y a juste l'ascenseur qui me tracasse. » dis-je avec un p'tit sourire en coin. « Ca fait très hôtel. », cela dit j'adorerai être enfermé dans l'ascenseur avec Léna ou Hadès, il pourrait s'en passer des choses. Au même moment, arrive Victoria, je ne sais pas pourquoi, mais à chaque fois que je la vois, elle me provoque une gêne assez forte, cela doit être son aura. Je ne la sens pas honnête, je sens qu'elle calcule tout, et qu'elle en fait trop. Je pense que la production aurait du diriger Victoria vers une émission de télé réalité de NRJ12 honnêtement.  « Salut Vicky ! » lui lançais-je avec un petit sourire accueillant. Hors de question de montrer quoi que ce soit, même si c'est dur.

La jolie mademoiselle s'appelle Lena, tandis que le type c'est Corentin, je prends note mais me connaissant je sais très bien que je vais oublier d'ici quelques minutes. « Je sais pas trop, je dormais j'ai rien fait dans ma dimension. » Pas même mangé ou à peine, fin le minimum nécessaire. Lena, elle, elle me rappelle que je risque de prendre dix kilos si je commence comme ça. « Oh pas de soucis tu m'as vu ? Je grossis pas moi. Au pire dix kilos de plus ça me serait pas mauvais » Mais bon je suis un gars qui brûle assez facilement les graisses. D'autres gars arrivent dont des gars de ma dimension que je connais déjà. Je les salue tous.

« Elle a de la maturité, ça m’a directement plu je t’avoue. » avouais-je a la calme Léna. Blair sait aussi ce qu’elle vaut, ce qui est extrêmement important. Je n’ai pas l’impression que ce soit le cas de Lena, mais elle apprendra a mes cotés. J’hoche la tête de haut en bas lorsqu’elle demande notre avis sur la maison. De ce que j’ai vu (pas grand chose donc) elle m’a l’air pas mal.
Victoria arrive et ne me salue pas... eh bien. Quand je vous dis qu’elle est bipolaire, prenez moi sur parole. « Bonjour a toi aussi Victoria » dis-je un tantinet excedé (excedé pour de vrai, non pas excedé comme le bloggueur violeur d’enfants). Il faudra bien remettre a ces cas sociaux les pieds sur terre tôt ou tard.
Arthur me fait rire quand a lui, il est effectivement drôle.
Une fois mon petit déjeuner terminé je sors de la cuisine.

Après avoir terminé mon petit-déjeuner, je décide de partir et me rendre dans l'ascenseur pour retourner me reposer dans la chambre. Toujours un fort besoin d'être un peu seul dans mon lit pour réfléchir.

Alors que la cuisine commençait à se vider, Brandon rejoint la cuisine et me salue en me tapant sur l'épaule. Alors qu'il a quelques jours je pouvais même pas supporter être dans la même pièce que lui, aujourd’hui ça me fais ni chaud, ni froid. Je trouve même que je me sens moins dépaysé avec sa présence ici. Brrrr quelle sensation bizarre. " Salut Brandon, moi ça va, et toi pas trop d’embrouilles ? " Lui dis-je et lui rendant la tape. Ma main à coupé qu'il s'est débrouiller pour insulter quelqu'un ici, je le sens. Je me lève pour prendre une éponge dans l'évier, et commence à nettoyer le comptoir de la cuisine. " Avec Blair, ça se passe mieux ? " Au dernières nouvelles, Blair ne voulait même plus parler avec lui.