Jour 25

Maxime a écrit:

Rituel matinal

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Jonathan a écrit:

Jonathan arriva dans la salle de bain. Douche, puis décrassage devant le miroir. J'suis beau putain. Je m'aime. Il se donna une légère gifle de motivation et partir, enivré par sa propre beauté.

Heiligdom a écrit:

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Rituel matinal

Après cette longue journée, j'avais décidé de me retirer dans la salle de bain, me plaçant sous le jet d'eau de la douche alors que les muscles de mon corps se détendaient petit à petit. J'étais encore un peu stressé de ces nominations qui avaient affecté beaucoup de mes proches, et le prime de samedi était d'ores et déjà dans mes pensées.

@charly

J'faisais pas l'fier en ce moment. J'étais nominé samedi, et qui plus est face à des grosses têtes comme Suzanne, Nawel ou Louis. J'vivais sûrement mes derniers instants ici alors autant en profiter. Le truc, c'est qu'j'étais pas défaitiste, j'étais réaliste. J'avais pas beaucoup bougé ces derniers temps, du coup ça a joué en ma défaveur et faut dire qu'moi de mon coté, j'avais plus cette hargne comme à mon arrivé, p'têtre que c'était à cause du fait qu'j'arrive pas à m'intégrer forcément avec tout l'monde. J'arrive donc dans la salle de bain pour faire un dernier brin de toilette alors que j'm'apprêtais à aller au lit. Et j'vois qu'Maxime y est déjà. J'esquisse un sourire, autant profiter un peu d'sa présence pendant ces derniers jours. J'retire donc mes vêtements avant d'm'approcher doucement dans la douche et v'nir passer mes bras autour de lui dans un geste doux pendant que ma tête vient s'loger contre son épaule. « Tu prends une douche si tardive ? » que j'demande en esquissant un sourire tandis que mes mains viennent rapprocher son corps contre le mien pour que nos peaux ne fassent s'effleurent. « J'crois qu'on passe nos derniers instants tous les deux alors autant en profiter. ». Dans un air amusé comme pour dédramatiser la chose, j'viens caresser son torse d'un geste tendre. « Comment tu vis les nominations ? On s'attendait pas à ça hein ? ». Ouais on avait merdé dans notre groupe. Personne avait vraiment suivi la stratégie établie et on s'retrouvait avec tout l'monde dans l'sas. Et pas un SAS des plus tendres. « Comme quoi, t'as encore évité l'sas cette semaine, bizarre, pourtant j'avais mis ton nom et j'pensais vraiment qu'j'allais m'débarasser de toi. ». J'viens le taquiner, fallait plutôt en rire qu'en pleurer donc autant être tranquille par rapport à ça. Et si j'dois sortir, c'est qu'j'ai fais mon temps. Ma tête se tourne, restant sur son épaule, pendant qu'j'profite des ces quelques secondes alors que l'eau vient couler sur mon dos.

Je fais mon rituel, sans couper le rp de @Charly et @Maxime, puis je retourne dans ma chambre.

Je le vivais plutôt mal ce SAS il fallait bien avouer, et j'avais tout particulièrement peur pour @Charly qui était encore entrain de faire ses preuves ici. Alors que Nawel quittait la salle de bain, après que je lui ai fait un bisou sur la joue pour lui souhaiter bonne nuit, je laissais mon corps se détendre sous l'eau chaude, sentant bientôt une présence venir se coller à mon dos alors que les bras de l'inconnu venaient s'enrouler délicatement autour de mon torse. J'aurais pu reconnaitre cette odeur entre mille, mais c'est finalement sa voix grave qui me confirma l'identité de l'individu. Un doux sourire venait étirer mes lèvres alors que je déposais ma tête contre la sienne, restant là dos à lui, dans ses bras. « Je prends toujours une douche avant d'aller dormir, ça me détend. » j'étais un grand stressé moi, j'avais besoin de ce moment pour calmer mon cerveau, afin de pouvoir ensuite trouver le sommeil. Sauf que voilà, Charly mentionna le fait que l'on passait probablement nos derniers instants ensemble... et face à cette déclaration, je me sentais totalement impuissant. « C'est pas juste... » j'avais vraiment pas envie qu'il parte. Je pense qu'il ne savait pas à quel point j'avais développé des sentiments à son égard, dès que je posais mes yeux sur lui, ça me faisait comme des papillons dans le ventre. C'était stupide parce que je ne savais pas grand chose de lui, mais je n'étais pas vraiment maitre de tout ça. « Je... Tu peux pas partir Cha'. » il avait pas le droit de me laisser ici. On avait encore tellement de choses à se raconter. « Je comprends pas comment ça a pu en arriver là en fait... J'ai voulu écouter mon coeur sur ces nominations... mais j'ai pas pensé une seule seconde que tu pouvais être en danger. » ni Suzanne d'ailleurs, ni même Nolwenn. Je comprenais pas comment c'était possible. C'était déjà compliqué de savoir Nawel nominée alors tous ensemble, ça me faisait mal. Il tentait de plaisanter en disant qu'il n'avait pas réussi à m'éliminer cette fois ci, et je me retournais, restant dans son emprise, mon torse maintenant collé au sien, avec que mes mains se posaient sur ses clavicules, l'eau s'abattant sur mon visage alors que des gouttes longeaient mes joues jusqu'à mes lèvres. « Tu... t'as déclenché quelque chose en moi, je sais pas ce que c'est. » je savais que j'avais des sentiments pour Abel... mais en avais-je également pour Charly ? Est-ce que c'était possible d'en avoir pour plusieurs personnes.

Il m'avoue donc que c'était son style, de prendre des douches pour sentir un peu l'moment passer, pour s'détendre face aux difficultés d'la vie. A vrai dire, c'était un peu mon cas aussi, j'voulais pas penser à ce sas qui me jarterait sûrement d'ici, et à raison faut pas s'leurrer. L'issue en f'sait plus d'doute, ça serait moi et Jonathan qui iront jarter, les deux p'tits nouveaux. J'me laisse donc là, la tête toujours collé à Maxime alors qu'il vient m'confier son stress par rapport à c'qui nous attendait samedi. D'ailleurs, il avait l'air bien plus angoissé qu'moi à l'idée de me voir partir. Ça m'fait hausser un sourcil surpris. J'avoue qu'on avait jamais trop discuté d'notre relation à tous les deux d'puis l'prime et depuis cette histoire de mission, on en avait pas trop parlé. Mais j'avais bien compris qu'on en était plus à là d'ailleurs. C'est d'ailleurs la première fois qu'il utilise à diminutif pour m'palrer, ça m'faisait sourire en fait. Il y avait que d'rares amies qui m'appelait Cha' et j'pensais pas que ça lui viendrait naturellement. J'reserre mon étreinte sur lui, comme pour l'apaiser un peu. « Tranquille Max, si j'sors samedi, ça sera pas la fin du monde, tu vas te battre jusqu'au bout, t'es apprécié ici tu l'sais, et j'pense que t'es celui dont ils doivent se méfier car tu vas tout gagner. Maintenant que j'sois là ou pas là, ça change pas, va jusqu'au bout. ». Il aura d'ailleurs toujours Abel pour se consoler. Alors qu'il tente d'expliquer un peu les raisons de tout ça, j'viens le calmer légèrement d'un doux « Shhhh, faut pas qu'tu t'prennes la tête, t'a suivi ton coeur et c'est l'essentiel. C'est pour ça qu'les gens t'apprécient. On aurait du mieux jouer notre coup, et j'sais qu'y'a certains ici qui ont voulu sauver leur peau. Ils ont réussi, et nous non. ». J'viens lui caresser doucement le torse, perdant mes doigts dans le sillon d'ses abdos légèrement apparents et resserrant mon emprise contre lui pour d'un geste protecteur. Il s'retourne à son tour, tandis que j'sens dans ses yeux quelques choses que j'avais pas déceler jusqu'à maintenant, un air brillant, un air que j'avais pas r'ssenti d'puis bien longtemps. Il vient finalement ponctuer c'regard d'une phrase qui en dit long. Maxime semblait avoir plus qu'une simple attirance pour moi. Et pour l'heure, bien qu'j'aimais beaucoup sa compagnie, j'pouvais pas dire si c'était réciproque, j'étais pas l'genre de gars à brusquer les choses, l'genre de gars à exprimer c'qu'il ressentait sans bien connaitre la personne. Mes yeux se perdent dans les siens, alors qu'un petit silence se créé sans qu'je sache quoi dire. J'finis simplement par déposer mes lèvres sur les siennes, dans un baiser long et tendre alors qu'une de mes mains se perd sur son visage et dans ses ch'veux. « T'es pas obligé d'mettre un mot sur c'que tu ressens, on peut vivre nos moments à deux sans s'poser de questions, juste pour nous. ». J'comprenais aussi pourquoi Abel voulait pas définir leur relation, p'têtre que lui aussi avait du mal à s'projeter. Ca f'sait peur, fallait pas s'mentir. J'viens regarder quelques instants le brun, pendant que ma main continue de caresser doucement sa tempe alors que l'autre main continue d'enserrer son corps, rapprochant son buste du mien et que mes lèvres viennent se perdre plus longuement et passionnément dans celle de Maxime. Un des derniers baisers qu'on aurait sûrement dans cette aventure.

Il y avait tant de possibilités, tant de choses qui pouvaient varier d'ici Samedi qu'il était tout bonnement impossible de savoir qui allait sortir au prochain prime. J'avais envie d'y croire, et j'espérais que @Charly aussi. Là tout contre lui, j'avais l'impression que sa présence me calmait, comme si mes énergies étaient régulées d'une manière qui m'était indescriptible. Les gouttes roulaient sur nos corps dénudés, traçant des lignes sur mes pores alors que je me perdais un instant sous son touché. Il me disait que ça serait pas la fin du monde, et que c'est eux qui ne savaient pas à quoi ils s'attaquaient face à moi. J'avais du mal à y croire. Mais j'avais jamais vraiment eu de confiance en moi de toute façon, donc tout le monde pourrait bien me dire que j'étais un danger ici, je me voyais plus inoffensif qu'autre chose. Je voulais pas être un danger moi, je voulais passer inaperçu. Juste assez pour pouvoir aller le plus loin possible. « Mais si t'es plus là, ça va changer quelque chose pour moi. » je tirais ma force de mes proches et des énergies que l'on m'envoyait. Chaque fois que l'on m'amputait de quelqu'un que j'aimais, c'était une volonté en moins. Comme une flamme qui s'éteignait dans mon coeur. Et je m'en voulais un peu que Charly se retrouve dans cette situation par ma faute, car j'étais celui qui n'avait pas vraiment voulu prendre part aux stratégies, et au final, ça lui avait couté. Peut-être que si j'y avais mis du mien, il aurait pu y échapper. Mais je sais que je l'aurais aussi mal vécu de prendre part à tout ça. Y'avait pas vraiment de bonne solution en fait. « Je suis désolé que t'aies pas pu compter sur moi cette fois... » j'avais l'impression de l'avoir un peu déçu à vrai dire, et probablement à juste titre. Me retournant, mes prunelles océan se plantaient dans les siennes, alors qu'un milliers de mots traversaient mes pensées. Je savais pas trop par où commencer, mais voilà, j'avais besoin de lui avouer ce que je ressentais. Je savais pas trop ce que c'était encore, mais c'était comme un bourgeon dans mon coeur, qui s'arrosait automatiquement à chaque fois que l'on en venait à échanger des mots, des regards, des baisers. J'étais comme ça moi de toute façon, je faisais jamais les choses à moitié et c'était probablement pour cette raison qu'aucune de mes relations n'avait jamais vraiment marché. C'était trop simple de m'avoir, les gens se lassaient bien trop rapidement. Il déposait un baiser sur mes lèvres, baiser que je lui retournais, mes bras glissant autour de son cou. Et puis, il me disait que j'avais pas forcément besoin de définir tout de suite ce que je pouvais ressentir, et ça me rassurait un petit peu, il devait le voir. Je voulais pas qu'il prenne peur, parce que j'avais déjà assez peur pour deux... pour six même. Mes lèvres se redéposaient sur les siennes en un baiser plus passionné, langoureux, alors que je reculais l'entrainant avec moi, mon dos se posant lentement contre la paroi de la douche, alors que Charly se retrouvait sous le jet d'eau. Le baiser n'était pourtant pas interrompu, et s'accélérait légèrement avec le temps, l'une de mes mains glissant sur son torse, longeant ses abdominaux, détaillant ses pores du bout des doigts, avant de descendre un peu plus bas et glisser le long de son anatomie, entièrement dénudé. Mon autre main, elle, restait dans sa chevelure, bien plus courte que la mienne. Je voulais rester là, contre lui, jusqu'à la fin de la nuit.

J'étais quelqu'un d'assez conscient des choses et quand j'disais que j'allais sortir, c'est qu'j'savais qu'j'allais sortir. J'vois pas quel autre scénario s'rait possible vu le SAS qui nous attend, et j'méritais pas plus ma place que ceux qui étaient à mes cotés. J'voyais vraiment ma fin arriver, mauvais timing et mauvaise stratégie, f'sait que j'me retrouvais dans un scénario où j'en sortirais sûrement perdant. J'voulais pas que Maxime souffre à cause de ça alors j'étais obligé au moins d'le rassurer face à c'qui allait arriver ensuite. Il m'avoue quand même que si j'en v'nais à plus être là, tout allait changer pour lui. J'rapproche ma tête de mon buste, venant caresser ses ch'veux d'un geste rassurant. J'voulais être là pour lui, et j'aimais qu'on ait d'la peine à cause de moi, d'un coté j'me sentais impuissant face à c'qui allait arriver. Et j'voyais pas quels mots pourraient le pousser à reprendre du poil de la bête, alors j'pouvais que lui montrer des gestes qui valaient milles paroles. Il s'excuse, et ça m'gêne car j'lui en voulais pas du tout. « T'y es pour rien Max, p'têtre que ton vote aurait pas changé l'issue d'ce SAS, faut pas que tu te martyrises pour quelque chose qui est pas de ta faute. La seule faute ici, c'est la mienne, j'ai mal joué, j'le mérite point. Mais j'veux pas que tu culpabilises pour quoi que ce soit car t'as rien à voir là d'dans. ». J'finis par le regarder dans les yeux, tandis qu'mon regard se perd à nouveau au fond du sien et que j'viens afficher un sourire rassurant par rapport à ces derniers mots. « Profite de ce jeu, profite de Abel, c'est un gars bien, et j'suis sûr qu'il te soutiendra quoi qu'il arrive. Allez au bout tous les deux. ». Ca m'rassurait aussi d'un coté d'savoir qu'il s'rait pas seul si j'en venais à plus être là. J'finis par me laisser aller alors qu'un nouveau baiser vient ponctuer notre étreinte. Ma langue se mêle à la sienne et notre baiser se fait plus fougueux tandis que je sens sa main sa main descendre vers mon entrejambe et que j'le laisse faire dans un p'tit sourire, tandis que ça n'tarde pas à réagir sous ses caresses expertes. L'eau ruisselait sous nos deux corps alors que d'une autre main, je ramenais le beau brun contre moi en descendant ma main le long de son échine avant qu'elle vienne se perdre sur son fessier bien galbé. Là, je laissais mes doigts venir faire leur chemin à plus profondément dans son anatomie alors que notre baiser se faisait plus intense. C'était un des rares moments où on entrait totalement en osmose. Nos respirations se faisaient plus saccadé alors que le plaisir nous gagnait tous les deux, j'accentuais mes caresses pour donner à Maxime un avant gout de c'que j'avais envie de vivre pour les derniers moments de notre aventure, en espérant dans un miracle, que ce n'les soit pas.

Quelque part, sa présence me rassurait, et si jamais il devait partir ce Samedi, je savais que j'aurais profité un maximum de sa présence d'ici là. En vérité, j'aurais jamais pensé m'attacher aussi rapidement à quelqu'un alors que ça faisait un peu plus d'une semaine qu'on se connaissait. Mais parfois, il y avait des courants qui passaient entre deux personnes qu'on ne pouvait pas expliquer et je savais que je n'aurais jamais ressenti tout ça dans la vie de tous les jours, tout bonnement parce que je n'aurais jamais abordé un gars comme @Charly. Il était tout mon opposé Cha', à l'aise socialement, plutôt entreprenant, sexy à souhait, je comprenais même pas comment il pouvait avoir envie d'un gars comme moi en fait. Et pourtant, j'étais là contre lui, à me perdre dans son regard. Il était un véritable mystère pour moi, ce genre de mystère qui avait un côté excitant. Le beau brun tentait de me rassurer en me disant que mon vote n'aurait certainement rien changé, mais j'y croyais moyen, quelque chose me disait que ça avait été extrêmement serré. De toute façon, on pouvait plus trop faire marche arrière maintenant, malheureusement. J'approuvais ses paroles sans savoir trop quoi dire de plus, parce que réellement, y'avait rien à dire en fait. J'allais faire de mon mieux pour le rendre fier, qu'il sorte ou qu'il reste Samedi. Et alors que nos baisers devenaient maintenant plus chaleureux, je pouvais sentir le tracer de ses doigts le long de mon épine dorsale tandis que je frissonnais contre ses lèvres, mon corps s'électrisant petit à petit sous son touché. Sa main glissait le long de mes fesses un instant, débarrassant le boxer qui recouvrait mon corps -j'étais pas du genre à prendre ma douche nu par ici- avant de venir se déposer sur mon intimité, ce qui me fit pousser un long soupir contre sa bouche. J'accentuais un peu plus mon baiser alors que je pouvais sentir l'excitation gagner le corps du beau brun. Là, nos positions s'échangeaient, son dos heurtant la paroi de la douche alors que mes lèvres déviaient contre sa peau, dans son cou, son torse, descendant dangereusement, alors que j'arrivais bientôt jusqu'au fruit défendu, le contournant un instant comme pour le narguer, avant de finalement m'en emparer. J'avais envie de lui faire plaisir, j'avais envie qu'il comprenne à quel point là tout de suite, je le désirais.

On était là, nous deux, alors que nos caressent se faisait désormais plus soutenues, mais à la fois plus tendre, qu'on profitait de ces derniers instants de répit à deux et que nos lèvres ne trouvaient qu'à s'perdre dans ce flot de tendresse continu. J'avais attiser chez Maxime la flamme du désir, et lui qui se voulait si réservé à la base, avait la volonté de me montrer qu'il était fou de moi à cet instant. Ses baisers qui s'voulaient réservé dans un premier temps étaient devenu plus intenses, plus passionnés, alors que nos corps étaient collés l'un contre l'autre et que nos bouches venaient se croiser comme si il ne nous restait que quelques secondes à vivre ensemble. Je sentais ensuite l'attention du beau brun finir par descendre peu à peu, rejoignant mon intimité alors que mon regard se perdait dans le sien dans un sourire de plaisir et que je laissais Maxime s'en occuper alors qu'il commençait à une porter ses lèvres dans un geste aguicheur. Pendant un certain temps, ma main se perdait dans ses cheveux, tandis que je l'accompagnais ferme mais tendre dans un caresse sensuelle. Ma respiration s’accélérait, me permettant de lâcher quelques petits grognements de plaisir alors qu'il savait parfaitement y faire pour attiser en moi tout ce qui déclenchait mon excitation envers lui. Mes yeux le regarde là, alors qu'il n'y avait plus que nous deux dans ce moment intime et personnel. Pas de peur d'être surpris, il y avait plus rien autour de nous. D'un coup, je lui relève le menton d'un geste brusque, portant mes lèvres aux siennes comme si je n'y avais pas assez goutté depuis une éternité. Puis là, j'viens à mon tour, alternant des deux mains des caresses douces et habiles à la fois à l'avant et à l'arrière, pour que Maxime sente que moi aussi, j'étais là pour lui faire plaisir à cet instant, et qu'on avait tout le temps du monde pour apprécier ce moment. Finalement, son dos se trouve contre moi et je peux pas m'empêcher de venir lui déposer un baiser dans l'cou, alors que mes lèvres poursuivent leur route jusqu'au bas de son bassin puis jusqu'à son postérieur que je finis par couvrir des mes caresses buccales. En attendant, j'en perds pas une miette pour continuer mon p'tit jeu à l'avant alors que j'me fais plus intrusif à l'arrière, assurant à Maxime toute la tendresse que j'pouvais lui donner et lui témoigner toute l'excitation qu'il pouvait me procurer.

L'eau s'abattait avec puissance sur nos deux corps dénudés, faisant monter la température d'un cran alors que j'étouffais presque de plaisir sous les caresses du beau brun. Mes lèvres étaient venues retrouver l'expression du désir que dégageait @Charly envers moi, l'une de mes mains accompagnant les vagues en mouvement, tandis que l'autre venait déposer des caresser le long de ses abdominaux. Je pouvais sentir ses doigts se mêler à mes cheveux, m'incitant à continuer un instant, avant de finalement venir chercher mon menton pour que nos lèvres se retrouvent. Il n'y avait plus rien autour de nous, et moi qui étais d'habitude plutôt pudique et assez gêné des lieux en public, voilà que j'en venais à faire abstraction la plus totale de tout ce qui pouvait arriver. Pourtant, vous me connaissiez, j'étais du genre à devoir anticiper tous les scénarios possibles. C'était dire à quel point Charly arrivait à me déconnecter de la réalité. Là, contre lui, je pouvais sentir ses caresses réchauffer mon corps tandis que mes muscles se détendaient sous le plaisir procuré. Après quelques instants, je me retrouvais avec surpris dos à lui, sentant ses lèvres glisser le long de mon épine dorsale, pour venir se perdre dans les courbes de mon postérieur. Un soupir, puis deux, et mon corps se courbait sous ses attentions, alors que le bruit de l'eau ruisselant sur le carrelage couvrait le reste des bruits. Mes mains à plat contre la paroi de la douche, je me mordais la lèvre inférieure pour contenir toutes les émotions qui traversaient mon être alors que je sentais ses lèvres remonter jusqu'à mon cou. Tournant mon visage vers lui, je croisais un instant son regard, lui intimant que j'en désirais encore plus. Je le voulais lui. Alors, nos lèvres se scellaient une nouvelle fois, son corps se collant de au mien, désirant la suite plus que jamais.

Le jet de la douche battait contre le carrelage alors que je continuais mes caresses que je donnais à Maxime contre l'intimité bien exposé et à ma merci du postérieur de Maxime. Je sentais Maxime réagir sous ma langue qui s'évertuait de donner des nouvelles sensations au beau brun et de le faire quitter ce monde un instant. Preuve que cela fonctionnait, je pouvais entendre sa respiration saccadée entrecoupée de gémissement audibles à l'intérieur de la douche et seulement pour moi qui me poussent à continuer mon manège. Après quelques instant, je décide de me relever, venant chercher son cou pour y déposer à nouveau mille baisers passionnés, symbole de ce que représentait Maxime pour moi à ce stade. Je sentais nos deux corps brûlants vouloir l'un de l'eau, je sentais le regard de Maxime m'en demander plus, dans un air presque plaintif alors qu'une de mes mains venait jouer avec l'intimité avant du beau brun et procurer quelques caresses bienvenues à cet endroit déjà bien éveillé sous le coup de excoriation. A mon tour, je ne pouvais plus contenir à quel point j'avais envie de me lier à lui, mon corps criait vouloir explorer les moindres recoins de son anatomie et de son intimité et c'est donc après quelques nouvelles caresses, que je viens d'un geste maîtrisé doux m'insinuer en lui, l'eau chaude du jet et mon exercice d'avant en ayant facilité l'entreprise. Nos corps ne faisait désormais plus qu'un alors que j'en venais presque à réprimer un soupir prêt de l'oreille du brun. Doucement et sans trop brusquer cette première prise de position, je viens donner à Maxime toute la possibilité de sentir mon excitation en lui tandis que mes premiers coups se faisaient sentir et que j'essayais de jauger si lui se sentait à l'aise. Mes mains venaient quitter son intimité pour venir à nouveau se loger contre ses deux globes postérieur pour accompagner l'effort de nos ébats. Nous n'étions là que l'un pour l'autre, plus rien n'existait que cet instant où nos deux corps hurlaient de plaisir à se retrouver l'un en l'autre. Et je ne tardais pas d'ailleurs à laisser mon plaisir se faire entendre auprès de Maxime qui devinerait que c'était aussi agréable pour lui que pour moi.

Fondant sous ses baisers au creux de mon cou, je lui insinuais d'un simple regard, l'autorisation qui lui manquait pour sceller nos êtres. Et alors que ses caresses continuaient, mes doigts se refermaient contre la paroi, sous le plaisir qu'il m'offrait. Là, je pouvais sentir son corps se frotter un instant au mien avant de finalement glisser doucement en moi, me faisant pousser un gémissement audible de plaisir. D'abord attentionné, ses mouvements s'intensifiaient au fur et à mesure que nos corps en demandaient plus tandis que je pouvais sentir ses mains glisser jusqu'à mon postérieur. Ne faisant plus qu'un avec @Charly, j'avais l'impression que toutes mes émotions traversaient mon corps pour directement venir se loger en lui, comme si un lien venait de se connecter entre nous. Après quelques instant, je commençais à onduler mon corps pour également procurer du plaisir au beau brun, alors que mes soupirs se faisaient entendre, et que bientôt, les siens aussi. Là, ses deux bras glissaient le long de mon torse, m'attirant contre lui alors que ses coups de bassin s'intensifiaient de nouveau, nos lèvres se scellant une nouvelle fois en un court instant. Finalement, je guidais sa main jusqu'à mon intimité avant, pour lui faire comprendre que je n'étais pas loin de succomber sous ses pulsions. Je n'avais qu'une envie, qu'il sente tout le désir qui m'habitait en cet instant. Alors, tandis que son bassin s'occupait à donner des à-coups, voilà que ses doigts glissaient le long de mon intimité, tandis que mes ongles se plantais sur le côté de ses fesses pour lui faire comprendre de continuer. J'étais à quelques instants du plaisir total.