Jour 61

J'entre dans la salle des archives, Coco étant en train de me suivre. Une fois entrés, je referme la porte à clé derrière nous. Face à nous une douzaine d'horloges et au milieu de la salle un globe terrestre. Ayant renversé du lait sur moi je retire naturellement mon calbut, devant Corentin, dans l'optique de me changer. Oh... je crois m'être trompé de pièce... ce n'est pas ici que je vais trouvé des vêtements de rechange, je me trompe ? L'air mesquin sur mon visage je regarde Corentin avec insistance. Tu as envie de moi n'est-ce pas ?

Où est-ce que Gabriel va m'emmener ? Je le suis, je le suis, et on arrive ici... ça changera de l'ascenseur, ma foi. A chaque fois, on essaye dans un endroit différent. Il ferme la porte à clé, il n'y a plus que nous deux, personne ne peut nous déranger, on est en totale intimité, entre quatre murs, entre douze horloges, avec un globe à côté de nous. Alors que le lait goûte sur son corps, il enlève son caleçon, et feinte une bêtise. Ce n'est pas ici qu'il trouvera des vêtements de rechange, n'est-ce pas ? « Par contre, ici, tu ne sentiras pas le temps passer, crois moi. ». Il me regarde, je le regarde et ni une ni deux, je commence à passer mon nez ainsi que mes lèvres sur son torse rempli de lait... ça change le parfum, ça change le goût, mais ça me donne encore plus envie que d'habitude.

Corentin ne tarde pas à répondre avec cet humour qui lui est propre et qui me fait sourire. Le temps m'a paru bien long depuis quelques semaines, je ne suis pas à quelques heures près ! Il s'approche de moi et commence à me toucher, à me lécher, le lait qui coule encore sur moi. Je passe mes mains dans ses cheveux alors qu'il a l'air d'aimer le breuvage. Qu'il me laisse monter en température et je lui assure la meilleure crème fouettée à laquelle jamais il n'aura goûté !

Je lèche, je lèche, je lèche, et vu que j'adore le lait, c'est très bon. J'insiste bien sur les tétons, évidemment, car c'est la partie la plus chatouilleuse lors des préliminaires. Je passe ensuite au centre du torse, et je plonge littéralement ma tête. Vous savez, c'est la poitrine, le creux entre les deux tétons. Qu'est-ce que j'adore goûter à cette partie d'un mec. Je me fais plaisir, et en même temps que je déguste le lait, il passe une main sur mes cheveux fraîchement tondus. La coupe de bad boy, t'aimes bien, hein ? Je continue à me laisser toucher, puis je passe ma main sur son entrejambe. Je fais de petits cercles avec mes doigts afin de le chatouiller, puis je commence à y aller plus fermement.

Je vous laisse deviner à quel jeu on est en train de jouer avec Coco... Vous n'avez pas une petite idée ? Aujourd'hui je suis trop en manque c'est moi qui prend le dessus et qui mène la partie. Et quelque chose me dit que je ne suis pas seul à aimer ça.

Je le laisse mener la partie... et il se débrouille extrêmement bien. En même temps, je prends sa main pour qu'il s'occupe de l'autre partie de moi.

L'autre partie de lui ... à savoir ... non je vais pas l'écrire ça pourrait choquer des gens on sait jamais. En tout cas la chaleur, partout où l'on passe tous les deux, ne cesse de monter de façon exponentielle. Et je peux vous assurer que ce n'est pas la seule chose qui monte. Oh... Oh... Oh... ça s'intensifie, de plus en plus vite, de plus en plus fort, de plus en plus bon !

On se touche, on se touche, on fusionne, on fusionne, on ne fait qu'un, on ne fait qu'un... vous connaissez le refrain par coeur. La chaleur est là, et le plaisir aussi... « Ooooh... ». Continue à mener la danse, vas y... pendant ce temps, je lui masse la fesse droite.

Et bah on continue, je laisse Gabriel mener la danse.

Il en a une grosse, quand même.