Jour 38

Je me pose sur la terrasse et enfile mes lunettes de soleil avant de mordre dans ma pomme. Et j'attend... un signe de vie peut-être ?

j'arrive sur la terrasse d'une humeur plutôt perplexe, j'ai l'impression de ne pas savoir où je suis après une longue nuit de sommeil, j'ai conscience d'être dans la maison des secrets, j'ai conscience du jeu, mais j'sais pas, y a un p'tit truc qui fait que j'ressens une force extérieur et pas forcément bienveillante quelque part. je jette un oeil aux caméras qui sont toutes allumées, avant de me diriger vers Edgar avant de me poser à côté de lui avant de poser ma tête sur son épaule le temps de quelques secondes. J'aime ce contact. « tu as bien dormi ? » demande-je en premier lieu et sans perdre de temps je lui demande « j’peux croquer ? » sans être très précis mais il doit se douter que j’parle de sa pomme. Celle qu'il a entre les... doigts d'la main.

C'est finalement Dior, comme bien souvent, qui est le premier à se lever ce matin. Je souris alors, content de le revoir, jusqu'à ce qu'il vienne poser sa tête sur mon épaule. Ah... ça n'a pas l'air d'aller lui. On ne peut mieux ! Tu es immunisé, Nahim est nominé, je gagne un indice... le prime m'a bien fait plaisir. Et toi ? Ouais, finalement je m'attendais à pire, une fois de plus. Mais apparement non. Et pour une fois les tensions du prime ne me concernaient pas donc que du positif. Il me demande s'il peut croquer. Hum... je suis pas sûr que ça soit sur ma pomme qu'il porte son regard mais... je la lui tend alors avec mes doigts de la main. Ça ne va pas ?

Il me dit avoir bien dormi en justifiant mon immunité, ça me touche évidemment, ça veut dire qu’il tient peut-être à moi, puis surtout Nahim est nominé. «  Et avec Nahim, ça va toujours pas mieux entre vous deux ? C’est à cause de lui entre autre que t’as dû être hospitalisé j’me trompe ? » demande-je tout en repensant aux derniers évènements, et surtout à sa considération incommensurable pour Nadia, chose exaspérante mais j’dois m’y faire. Il m’tend la pomme, je croque à pleine dents et en plus elle est bien fraîche, bien juteuse. il semble s’inquiéter pour moi et me demande si quelque chose ne va pas. « j’ai… j’sais pas si tu connais ce ressenti, comme un vide dans l’estomac, un truc qui te bouffe toute ton énergie en un rien d’temps et qui te pousse pas loin d’la déprime » j’crois que c’est ce qui est en train de m’arriver, ce mauvais pressentiment que j’ai, ça doit être quelque chose dans mon cerveau, pourtant j’devrais être content, j’ai reçu une immunité grâce au choix de Léopoldine la veille. Je ne sais pas ce qui m’arrive. « j’espère que ça passera en tout cas ! »

Il me demande plus de détails sur la relation que j'entretiens avec Nahim. Je soupire. Son problème juste, c'est qu'il se croit au dessus de tout le monde, et que pour se le prouver il hésite pas à te mettre plus bas que terre... Est-ce à cause de Nahim que j'ai été hospitalisé ? Hein ? Je sais pas qui t'as raconté ça, mais j'ai pas été à l'hôpital en fait. J'ai... sur ordre de mes médecins je devais quitter la Maison sur le champ après toutes les tensions et embrouilles auxquelles je devais faire face. Mais j'ai demandé à être isolé quelques jours pour me ressourcer au calme et... tenter de revenir. Et je suis revenu. Mais ce n'est pas que à cause de Nahim... y a un peu tout qui s'est mélangé et... voilà.
Il croque dans ma pomme. Ne serait-ce pas un pêché associé à la luxure que de mordre dans le fruit défendu ? Une façon de me faire passer un message Dior ?... hum.
Il m'explique d'où vient son mal être. J'écoute attentivement et grimace. Je sais pas si je vais pouvoir t'aider à y voir plus clair, le vide chez moi, je le sens dans ma tête... pas dans mon estomac. Je rigole alors, mordant à mon tour dans la pomme. Dalianis m'a dit que ce jeu pesait à beaucoup de monde ici.... je vois que c'est ton cas aussi. Mais bon, je suis là donc.... je marque un temps d'arrêt avant de poursuivre si tu veux vider ton sac... je suis là. Je mord à nouveau dans la pomme en le regardant. Tu la prends dans le sens que tu veux la phrase. Vraiment.

il m’explique que Nahim se sent supérieur à tout le monde, ça doit être dans son éducation, je me contente de l’écouter. Pour son ‘abandon’, il explique qu’il n’a pas du tout été hospitalisé et veille à rétablir la vérité. « ah d’accord, j’ai dû mal comprendre j’me suis dit que si des médecins avaient suggéré que tu sois isolé c’est que forcément s’en suivrait une hospitalisation. » lui dis-je avec un sourire mais content que ça n’a pas été jusque là. Il mérite pas ça.

Lorsqu’il me dit que lui son vide il le ressent dans sa tête, je fais légèrement les gros yeux, assez surpris, même si c’est logique puisqu’il a été amnésique et l’est toujours, mais j’vois qu’il prend tout ça sans trop de sérieux donc ça me rassure quand même je souris donc naturellement jusqu’à ce qu’il me dise que si j’veux vider mon sac il est là pour moi. J’ai pas du tout envie de lui saouler avec mes histoires en fait, surtout qu’il aura l’impression de regarder en boucle une cassette vidéo, enfin ça doit plus exister les cassettes vidéos, bref l’impression d’être en mode repeat. « en vrai j’ai rien de bien spécial à vider, y a la psy pour ça donc j’réserve tout ça pour elle » dis-je dans un premier temps gêné de ne pas vouloir lui en dire plus et parler de la psychologue de la production. « mais j’aimerais bien qu’on parle de nous deux… j’ai l’impression qu’on se tourne autour sans assumer réellement… et puis il y a Nadia aussi… » dis-je assez directement, en m’emmêlant un peu aussi.

Il a pas compris la nuance dans ma phrase, tant pis.
Il me dit qu'il préfère réserver tout ça pour la psy. J'hausse les épaules... moi aussi je me confie à mes médecins, parce que je sais que je n'ai rien à craindre de leur part, surtout ici. À qui peut-on faire confiance réellement ? Pas grand monde. Ensuite il met les pieds dans le plat et me demande si on peut parler de ... "nous deux". J'esquisse un sourire, ajustant mes lunettes de soleil. Tu as un train de retard Dior... il n'y a plus Nadia. je me mord la lèvre, ne sachant pas quoi dire de plus. Est-ce que je peux oser lui faire part de ce que je ressens... ne sachant moi-même pas exactement ce que je ressens ? Hum... Oui... oui... je suis d'accord, on se tourne autour... mais... je suis attiré par toi je ne saurais pas expliquer pourquoi ni exactement ce que ça me fait...

il m’dit que j’ai un train de retard, que Nadia il n’y en a plus, je tente de garder une expression figée, mais un sourire se dessine dans mon coeur, je le sens, puis le vois hésitant, il a envie de me répondre honnêtement mais il a clairement peur ou bien ne sait-il pas du tout ce qu’il ressent.

Il finit par m’avouer qu’il est attiré par moi… que c’est pour lui inexplicable, et qu’il n’est pas sûr de ce que ça lui fait. Le vide que j’ai dans l’estomac est toujours là, mais s’ajoute aussi l’excitation et l’engouement dans ma poitrine, tout ce qu’il dit je le savais déjà…, mais de l’entendre le dire à voix haute, ça rend tout ça encore plus réel. « je suis attiré par toi aussi… encore plus depuis notre épisode dans les toilettes » dis-je en baissant légèrement d’un ton, ajouté d’un p’tit rire coquin…, j’hydrate ensuite mes lèvres avec ma langue pour être sûr de bien articuler. « il y a des choses qui ne s’expliquent pas… un peu comme de la magie… » vu qu’il est amnésique, il doit être un peu naïf aussi et ne me prendra pas pour un fou, j’espère en tout cas. « mais… » comment dire ça…, je ne voudrais pas le vexer. Je n’ai pas envie d’un bébé et je sens qu’il peut vite s’en comporter comme tel. « …j’crois que j’ai besoin de toi, d’un homme rassurant, un homme qui a de la poigne, qui sache ce qu’il veut. » lui dis-je sans filtre en espérant qu’il comprendra ce que je veux dire. C’est une discussion tellement gênante, tellement embarrassante…, j’en suis presque là à exiger des conditions comme-ci nous étions dans une relation, ou comme-ci nous étions sur le point d’y entrer…, c’est terrible mais nécessaire aussi, je préfère me garder d’en dire plus pour le moment.  

Si j'avais pas mes tatouages pour recouvrir la peau de mon visage je serais déjà tout rouge et ça serait pas beau à voir. "encore plus depuis notre épisode dans les toilettes". J'avais presque oublié... oh je sais pas quoi répondre à ça moi... Il me fait ensuite une explication digne de celle qu'on donnerait à un enfant. Mais ça a au moins le mérite d'ajouter un peu de légèreté à la conversation, et je comprend ce qu'il sous-entend. Et il me dit qu'il a besoin de moi. Je reste quelques instants sans rien dire, un peu perturbé par tout ça, je ne m'attendais à avoir avec Dior une discussion du genre... je pensais que notre jeu n'irait pas plus loin et que je n'aurais pas besoin d'assumer devant lui ce que je ressentais. Je me racle la gorge. Hum. Je... Je suis perdu oui. Je crois que le fait de voir... plus ou moins tout le monde ici... avoir des relations... ça m'a fait me rendre compte que... c'est comme si j'avais rien vécu de la sorte. Alors que si, c'est juste que je ne m'en souviens plus. Du coup... je pense que mes hormones ont travaillés pour moi et... m'ont fait prendre conscience que j'aimerais bien essayer... savoir ce que ça fait... de coucher avec quelqu'un. Wow wow wow ! Chaud chaud chaud. C'est un peu cucul comme conversation et clairement ça nous met mal à l'aise tous les deux. Je crois que.. t'avoir avec moi dans les toilettes... alors qu'on se partageait notre intimité... ça m'a donné envie de ... de tester ça. J'avale ma salive. À ce moment là je t'ai fais du rentre dedans parce que... j'avais envie de plus mais... je sais pas... est-ce que t'as envie de plus ? Je ne parle pas de sentiments pour l'instant, juste... de quelque chose de physique.

il me fait comprendre qu’il est vierge, je suppose vierge parce-qu’il est amnésique. C’est là où ça coince, si ça doit coincer… mais d’un autre côté ça attise ma curiosité. Ce n’est pas parce-qu’il ne l’a jamais fait, ou qu’il a oublié l’avoir fait, que ça serait forcément nul d’avoir une relation sexuelle avec. Dans sa nature ça s’voit qu’il sait s’y prendre. « comme tu le sais, je te désire depuis le début… mais pas au point d’être ton sujet de test » lui dis-je de manière assez douce. « si tu veux le faire juste parce-que tu veux savoir ce que ça fait d’avoir une relation sexuelle… ça ne se fera pas avec moi… j’espère que tu comprendras. J’estime mériter beaucoup plus que ça... » d’un côté j’ai l’impression qu’il me désire, de l’autre, avec tout c’qu’il dit, on dirait plutôt qu’il veut juste quelqu’un pour lui faire goûter ce que d’autres dans cette maison ont expérimenter depuis bien des semaines.

Pour ce qui est de savoir si j’ai envie de plus… « j’ai toujours eu envie de plus avec toi… je pense te l’avoir montré » lui dis-je accompagné d’un léger rire avant de me reprendre. « tu m’as même trouvé un peu trop collant à un moment. Envie de plus, oui, dans cette maison ? J’avoue avoir encore de léger doutes » on ne sait jamais à qui faire confiance, et puis être exposé à la télévision… contrairement à Giani, Sarah ou Liam, moi j’ai une famille à l’extérieur. Je vaux plus qu’une capote usagée.

J'acquiesce et comprend ce qu'il veut dire. Il ne veut pas être mon brouillon, il  ne veut pas que je fasse mes premières armes avec lui. Je comprends... tu mérites quelqu'un qui t'aime Dior et qui t'offrira la vie que tu mérites. Je ne vais pas citer Giani ça serait malvenu. Je ne sais pas jusqu'où je serais près à aller avec toi mais... je me suis déjà pris un râteau une fois et j'ai pas envie que ça recommence donc... je secoue la tête à la négative. Je ne peux pas t'offrir d'amour si je ne sais moi-même pas ce que je ressens exactement pour toi. Si c'est de l'amitié liée à de l'excitation du à notre proximité par moment... et parce que, il faut le dire, t'es quand même relativement beau... comme les trois quarts de cette maison oui aussi... ou si c'est autre chose. mais dans le doute... je ne veux pas te faire avoir de faux espoirs... ni m'en faire avoir à moi. Je ne veux pas m'aventurer dans une relation de ce genre. Non. Je ne peux pas m'impliquer pleinement alors que je ne suis pas au clair vis-à-vis de ce que j'éprouve pour lui. Et il n'a pas l'air de vouloir plus dans cette maison, lui non plus. Toutefois, ça n'empêche pas qu'on garde ce qu'on a réussi à créer jusqu'ici... et... qu'on continue à apprendre à se connaître tous les deux.

il dit me comprendre, ça m’rassure qu’il le prenne pas trop mal. Il me dit que je mérite quelqu’un qui m’aime et qui m’offrira la vie dont je mérite…, chéri, la vie dont je mérite, je la vis déjà, et je m’en fiche de quelqu’un qui m’aime pour le moment, je veux que du sexe mais pas avec un robot, avec quelqu’un qui veut me sauter pour mes formes et la personne que je représente, pas car je suis un trou qu’on peut essayer pour retrouver la mémoire. Je me contente de lui sourire quand même puis il m’avoue qu’il s’est déjà pris un râteau dans cette aventure et ne veut pas que ça recommence, je le sens encore très fragile. « ne t’inquiètes pas, je ne mets pas de râteau moi. » je mets des diamants, c’est beaucoup plus chic.

Il m’explique qu’il ne peut m’offrir de l’amour car il est perdu et ne sait même pas ce qu’il ressent pour moi, je pose une main sur sa cuisse et le regarde pour lui faire comprendre que… je le comprends. Il poursuit me disant que je suis beau, relativement… je souris spontanément. « écoute…, si tu ne peux pas m’offrir ton amour, un amour plus qu’amical, ce n’est pas très grave. J’ai moi aussi un fort attachement pour toi. Un attachement qui est flou… Un coup je me dis que je suis peut-être amoureux, mais je ne te connais même pas, et donc je me dis que tu es un crush, quelqu’un de très attirant sexuellement » bref je suis perdu aussi qu’il ne s’inquiète pas. « Je pense être dans un moment de ma vie où je suis fragile… peut-être est-ce cette maison, peut-être est-ce d’autres choses. » c’est vrai que cette aventure a bon dos pour rejeter la faute sur mes antécédents. « tu ne me donneras aucun faux espoir, ne t’en fais pas, car j’ai appris depuis tout petit à me méfier » de tout et de rien, et d’éviter de tout prendre pour acquis. « Puis… » tu es un peu instable pour que j’aie de quelconque espoirs… je sais que cette relation, si elle vient à être amoureuse, a peu d’avenir à l’extérieur, mais… « tu veux que j’te dise ? » m’exclamais-je en changeant de sujet, ou pas. « je crois que… ce vide que j’ai dans l’estomac, c’est le manque d’amour… c’est vrai que j’ai besoin d’aimer, et de me laisser tomber amoureux… mais rassure-toi, c’est juste dû à une addiction à l’amour je pense. » être amoureux, souffrir, ressentir des choses, se sentir vivant, en fait… c’est ce truc qui me manque, ce truc qui me donne une raison de me lever le matin et qui me donne la pêche surtout. « sache que j’te respecte trop pour oser. » lui annonce-je. « je m’emporte un peu et j’sais pas si tu comprends tout ce que je dis, je pars un peu dans tous les sens… je crois que l’enfermement a réellement raison de moi… mais… » puis il me dit qu’on peut toujours garder ce qu’on a construit depuis le début et d’apprendre à mieux se connaître. « ..oui » dis-je simplement et déboussolé. Je prends son bras.. sa main et tend la pomme vers ma bouche avant de croquer dedans une dernière fois.

« J’suis tout retourné ce matin, par la conversation qu’on vient d’avoir, et… j’en suis satisfait aussi. » lui dis-je me faisant à l’idée de ce qui vient de se passer.

Je souris. Et je me contente de faire que ça parce que je sais pas trop quoi répondre à tout ce qu'il me dit là en fait ? il a un manque d'amour constant. Ok. Il voudrait que je couche avec quand même, juste pour le plaisir des yeux et l'excitation qu'il me procure. Arf ouais du coup ça me plairait aussi je crois mais on est filmé et... Si l'aventure est dure à supporter... on peut toujours peut-être s'imaginer un moment dans la semaine où on pourrait... se réconforter. Il pose sa main sur ma cuisse... je pose ma main sur la sienne, avant de retirer mes lunettes de soleil pour le regarder droit dans les yeux. J'ai envie de toi Dior. Mais je crois qu'il est pas ouvert à l'idée ? Ou alors si ? Mais j'ai pas compris en fait ? Parce que... c'est pas parce que... enfin... on peut toujours rester proches et amis même si on... Je n'ose pas dire les mots tels qu'ils sont. Pas à haute voix. Je grimace légèrement.
Il est tout retourné ce matin par notre conversation... Moi c'est par toi que j'ai envie d'être retourné Dior !
Oh Edgar... chasse ces pensées de ta tête. Il croque à nouveau dans ma pomme. Je sens mon excitation pour le candidat revenir à la charge.

il a l’air de bien prendre tout ce que j’ai dit, ça me rassure un peu j’dois dire. Il me fait ensuite des avances, je crois. Il est fortement en train de me tenter, et la tentation est très forte. On pourrait effectivement se réconforter à un moment de la semaine. Il met une main sur ma cuisse, et je m’approche de son cou avant de baisser ma tête pour l’atteindre y coller mes lèvres quelques instants, je glisse légèrement ma langue entre mes lèvres avant de me retirer… ça peut aller trop vite et il fait encore jour. « je suis d’accord avec toi…, on peut être amis et prendre du plaisir au lit même si ca peut aussi être un risque » lui comme moi sommes sentimentaux je crois, une coucherie peut aussi signer la mort de notre amitié ainsi que la fin, ou même nous attacher encore plus l’un à l’autre. « laissons les choses se faire naturellement, on verra bien où ça nous mènera et…, j’ai bien envie qu’on apprenne à se connaître encore plus ! » lui dis-je avec un sourire avant de me lever. « je vais aller me reposer un peu au calme pour réfléchir à tout ce qui vient de se passer… sache que… le désir est plus que jamais présent Edgar » dis-je en prononçant son prénom avec une pointe de sensualité pour attiser encore plus la flamme.