Jour 4

Je n’étais encore jamais entré dans la serre de cette ferme. Du coup, j’avais tenu à visiter les lieux et pourquoi pas y goûter les quelques fruits qui muraient à cet endroit. Me saisissant donc d’une pomme qui d’apparence avait l’air plutôt appétissante, je m’étais au même moment assis sur l’une des chaises en bois faisant signe à Ajeya de me rejoindre du jardin.

J'arrive dans la serre et pose naturellement mon regard sur Stan, déjà présent, qui m'avait fait signe de le rejoindre ici. Je m'approche de ce dernier, restant debout face à lui. "Comment va l'un des pires fermiers ?" Demandais-je pour le taquiner un peu, mais aussi pour le secouer. S'il voulait rester, fallait qu'il se ressaisisse.

Ajeya avait finalement pris l’initiative de me rejoindre me demandant ainsi une fois devant moi comment allait le pire fermier. Ricanant doucement, je levais les yeux au ciel avant de lui répondre « Ça va, tant que je touche pas à la merde j’vais pas me plaindre. » Même si j’étais conscient que le but de cet aventure était de plus ou moins participer aux tâches de la ferme « Mais j’crois que demain j’vais pas avoir le choix de bouger mon cul et j’pense que j’vais commencer par là. » Y’avait sûrement des choses à faire ici. Comme arroser les fruits ? Ça s’arrosaient ces merdes non ? « Et toi, ça raconte quoi ? »

Je me rapproche du beau blond et décide de poser mes mains sur le dossier de la chaise se trouvant face à ce dernier. A sa remarque concernant les tâches de la ferme, je ne peux qu'hocher doucement et positivement la tête. "Il va falloir t'y mettre oui." Lui dis-je avant de hausser les épaules. "Emmanuel sera éliminé demain, et après ce sera réellement serré entre nous tous. Il ne faut pas se planter." Et il faut qu'il se réveille s'il veut tenir encore un peu. Il me retourne la question et naturellement, je fais une légère moue. "Oh rien de spécial, je pense que je ne suis pas celle qui a le plus à raconter, si ?" Lui demandais-je rempli de sous entendus. Je faisais évidemment référence à lui et Naïs. Je n'étais pas bête. La position de Naïs sur Stan, j'ai eu la même il y a quelques mois de cela.

J’en étais bien conscient, il fallait que je m’y mette pour éviter d’être mis en danger ces prochains jours. A vrai dire, je n’étais pas craintif à l’idée de quitter l’aventure, si j’me barrais c’était pas si grave que ça car de toute façon j’étais persuadé que la victoire reviendrai sûrement à une personne méritante. J’hochais positivement la tête suite aux paroles d’Ajeya avant qu’elle n’ajoute qu’elle n’était sûrement pas celle qui avait le plus à raconter. Passant ma main sur mon visage, je lâchais un petit rire mi-gêné mi-amusé savant pertinemment à quoi elle faisait référence. « Tu veux vraiment savoir ? »

Je connaissais plutôt bien Stan grâce aux semaines passées ensemble dans la maison des secrets l'été dernier. Puis même, c'est un homme et s'il y avait bien un domaine que je connaissais bien : c'était bien celui-ci. Un homme reste un homme et Stan venait de prouver un grand nombre de choses ces derniers jours, à mes yeux. Pas spécialement dans le positif, mais soit. Alors qu'il me demande si je veux vraiment savoir, je hausse les épaules. "Je te connais assez pour savoir que ça me choquera pas, donc je t'en pris." Lui dis-je avant de prendre place sur la chaise face au jeune homme, croisant délicatement les jambes et plantant mon regard dans le sien.

Ajeya avait pris face à moi, attendant que je lui raconte mes mésaventures avec Naïs. Si elle voulait savoir alors j’allais être honnête avec elle, haussant les épaules en premier temps, j’avais fini par déclarer : « Bah en faite, elle est venue me rejoindre cette nuit et on s’est embrassé.. »

Je ne peux m'empêcher de laisser s'échapper un léger rire à son annonce. "Oui, cette nuit." Répétais-je avant de hausser les épaules, amusée tout de même par la situation. "Mais tout à l'heure, ce n'était pas juste des bisous." Enfin, du moins si on était pas intervenus je suis persuadée qu'il y aurait eu plus. Je souffle légèrement, passant une main dans mes cheveux. "Honnêtement Stan, tu penses à quoi ?" Lui dis-je un peu plus froide, plantant à nouveau mon regard dans le sien. "Je croyais que tu aimais ta petite amie, tu peux pas penser autrement qu'avec ta bite pour deux semaines ?" C'était un reproche oui, et je pensais aussi à sa chérie dont il était apparemment amoureux. Elle allait apprendre tout ça par écran, et étrangement, ça me faisait quelque chose pour elle.

Pas juste des bisous et pourtant, il n’y avait eu que ça. Au fond, si personne ne serait intervenu comme l’avair si bien précisé Ajeya il était presque certain que ça aurait pu déraper « Ce n’est pas allé plus loin que ça » Retorquais-je à la belle brunette, croisant les bras au même moment. Par la suite, elle avait tenu à me remonter les bretelles (en quelque sorte) remettant ma petite amie sur table ce qui était tout à fait légitime. « J’la kiffais bien ouais mais si j’ai pas réussi à tenir rien que deux semaines c’est que finalement je n’étais pas aussi attaché à elle que je pouvais le croire. » C’était évident.

Il se défend en disant que ce n'est pas allé plus loin que des bisous. Je souffle légèrement. "Evidemment puisque le fermier nous a ensuite convoqués, Stan !" Haussais-je un peu plus la voix, laissant par la suite un blanc de quelques secondes s'installer entre nous. Il m'explique par la suite qu'il se pensait attaché à elle mais qu'en étant ici il se rend compte que pas tellement. Je hoche négativement et doucement la tête. "J'en ai rien à faire." Lui lançais-je un peu froide. "Respecte là. Tu attends de sortir d'ici, d'avoir une discussion avec elle plutôt que de la tromper." C'était même pas une proposition, mais un ordre. Une femme, ça se respecte.

« T’étais sous la couette avec nous ? » Non parce qu’à l’attendre elle aurait carrément participé à l’acte. Alors que je tentais tant bien que mal de défendre l’attitude irrespectueuse que je venais d’avoir envers Clara, Ajeya elle montait un peu plus le ton ce qui avait le don de me faire bien rire. Elle est tarée, j’suis mort. « Tu joues à quoi là ? » Demandais-je à mon interlocutrice droit dans les yeux alors qu’elle me demandait de respecter ma copine et d’attendre de sortir pour avoir une discussion avec elle « Et de toute façon, c’est même pas ton problème donc j’sais même pas pourquoi tu viens peter ta sale bouche ici. »

A sa remarque, je grimace légèrement, laissant s'échapper un rire nerveux. "J'en avais pas besoin, t'inquiètes pas pour ça." Lui dis-je dans un premier temps. "Je te rappelle que je suis passé par là moi aussi, donc arrête ton cinéma." Je voyais pas quel intérêt il avait à me mentir à moi sur ça. La position des deux était plus qu’équivoque donc qu'il arrête de me prendre pour une conne. Stan se met ensuite très vite sur la défensive. A quoi je joue ? Je crois rêver. "Arrête de toujours retourner la situation contre les autres, tu es fautif." Lui dis-je froidement. "Maintenant si tu n'es pas prêt à rester avec cette Clara, alors attends de sortir pour lui dire et avoir une discussion avec elle, mais ne saute pas sur une personne de cette maison alors qu'elle est derrière son écran. Pas après m'avoir humiliée devant toute la france le soir de notre entrée ici." Lui lançais-je un peu énervée, me préparant à quitter la pièce.

Ajeya n’avait pas l’air de me croire ajoutant même le fait qu’elle était passé par là elle aussi « Justement, ça n’avait rien à voir. » Clairement. Je pense que là, ça allait être ma soirée et les reproches commençaient déjà à fuser. Selon elle, j’étais le seul fautif de l’histoire et que je devrais attendre de sortir de cette maison pour mettre les choses au clair avec Clara. Mais connaissant la fille avec qui je m’étais mis, elle devait sûrement se considérer comme célibataire et attendre que je sorte pour me démarrer. Elle était légèrement tarée sur les bords alors. Finalement elle était retournée sur son cas déclarant que je l’avais humilié le premier soir. « Je ne t’ai jamais humilié Ajeya. »

Ca n'avait rien à voir ? "Heureusement !" Non mais il s'entend ? Je me rapproche un peu de ce dernier, confuse. "Je comprends pas ce que tu veux, Stan. Tu me dis que tu es amoureux de ta copine, après tu me fais comprendre que tu as envie de m'embrasser et tu embrasses finalement une autre personne à côté." Je fais une légère moue. "Qu'est-ce-qui cloche chez toi ?" J'avais besoin de comprendre, parce-que j'étais plus que perdue. Je commence par la suite à m'emporter et lui montrer qu'il m'humilie et qu'il ne cesse de le faire finalement depuis notre arrivée ici. "Si si, et j'ai l'impression que tu t'amuses à ça." Lui lançais-je dans la figure, n'arrivant plus à rester aussi calme que tout à l'heure. "A un moment, il faut que tu sois honnête avec toi même et que tu arrêtes de prendre les femmes pour des connes." J'avais pas l'impression qu'il saisisse tout dans sa tête.

Ajeya venait de me prendre au piège en me confrontant à toutes les mauvaises choses que j’avais faites jusqu’à là. Elle avait raison dans le fond j’étais un petit con qui ne savait pas ce qu’il voulait. Sincèrement, je n’avais jamais voulu blesser la jeune femme et les paroles qu’elles me balançaient me faisaient quelque chose. Un effet sur moi que seule l’indienne arrivait à provoquer. Il fallait que je sois honnête avec moi même, que j’arrête de prendre les femmes pour des connes avait-elle conclu. J’avais bu ses paroles, et j’étais resté face à elle sans vraiment savoir par où commencer. « Entre Naïs et moi y’a rien de sérieux, on prend juste du bon temps. » petite pause avant de reprendre « Et avec toi c’est autre chose, j’arrive pas à mettre de mots sur ce que j’ressens mais j’pense que tu seras bien mieux loin de moi. »

Je le sens déstabiliser face à tous mes reproches mais en même temps, s'il n'arrivait pas à être clair avec lui même, comment voulait-il que j'arrive à comprendre les choses ? Et honnêtement, ce qu'il me donne comme excuse ne me convient pas. Je souffle, hochant négativement la tête lorsqu'il me dit que Naïs et lui prennent seulement du bon temps et qu'avec moi c'était autre chose et qu'il n'arrivait pas à mettre des mots dessus. "J'en ai rien à faire, Stan. Si c'était ne serait-ce que fort pour toi, tu ne ferais pas tout ça avec une autre." Donc son excuse je n'y crois pas une seule seconde, il aime seulement avoir les femmes à ses pieds, à mes yeux. "Je pensais qu'on pourrait être amis, vraiment.." Commençais-je, passant une main dans mes cheveux. "Mais j'y arrive pas. Pas avec tout ce que je vois, ce que je ressens et ce que tu me lâches en retour dans la figure." Il fallait être honnête maintenant.

C’était très difficile pour moi de me dévoiler, de trouver les mots juste dans ce genre de situation et dieu seul sait à quel point j’avais du répondant. Mais lorsque ça devient sérieux et affectif je me perdais. Elle m’explique ensuite que si vraiment ce que j’avais pour elle était aussi fort que je le prétendais, je n’aurais jamais fait tout ça. « Comprend qu’on s’est perdu de vus que j’étais bien avec ma copine jusqu’à ce que j’te revois ici et que tout ce soit chamboulé dans ma tête. » Il y avait des choses qu’on ne contrôlait malheureusement pas dans la vie. Elle avait conclu qu’elle n’arrivait et ne pouvait pas être ami avec moi par rapport à ce qu’elle voyait de moi, ce qu’elle ressentait et tout ce que je lui envoyais à la figure. Pinçant en premier temps mes lèvres, je passais une main dans mes cheveux avant de lui répondre « Je t’avoue que j’ai déconné que j’ai toujours fait les mauvais choix, mais t’auras toujours une place importante pour moi et c’est comme ça j’peux rien y faire. J’suis peut-être égoïste car je sais que tu mérites mieux que moi mais je sais qu’à chaque fois que je suis avec une fille c’est vers toi que j’ai envie de retourner. Au final c’est peut être évident et j’me suis sûrement voilé la face. »

Il ne comprend donc pas ce que je veux dire quand je compare ses sentiments vis à vis de moi à son comportement. "Je ne parle pas de ta copine sur ça. Tu viens de dire que moi c'était différent, mais si c'était fort, c'est avec Naïs que ça devrait te stopper puisque je suis dans la même maison que vous deux, je te rappelle ..!" Oui, ça ne tenait pas la route cette histoire et je me demandais s'il essayait pas de m'humilier une nouvelle fois face aux caméras. "Je te l'ai dit que te revoir aussi me faisait quelque chose, mais tu as préféré me renvoyer et me donner une image de femme facile aux envies non réciproques devant les caméras." A la limite, si c'était juste pour conserver son couple, j'aurais compris. "Finalement, je vois que vis à vis de Naïs, tu n'as eu aucun soucis à faire quoi que ce soit." Le problème n'était même pas Naïs, que j'appréciais beaucoup, mais plutôt Stan, toujours dans le dénie et l'opposition. Evidemment, ce qu'il me dit ensuite me touche et je prends quelques temps à réagir, détournant rapidement mon regard du sien. "Et pourtant, je ne suis pas cette personne vers qui tu te tournes quand tu as besoin de réconfort ou d'affection." Pour parler poliment. Pour moi, c'était incompatible avec des sentiments sincères. Jamais je ne pourrais embrasser ou même coucher avec quelqu'un si j'ai une autre personne en tête. "Tu sais très bien ce que .. je pense de toi. Et jamais je ne t'en aurais voulu de me stopper devant les caméras par rapport à ta copine à l'extérieur, car moi-même je trouve ça irrespectueux. Mais avec ce que tu me dis là, ce que tu prétends ressentir mais ce que tu fais pourtant avec une autre .. c'est incohérent.." Je ne comprenais pas et ça m'énervait au plus haut point.

Je comprends totalement ce qu’elle me rapprochait. J’étais clairement entrain de lui avouer ce que j’avais tenté de lui cacher depuis que je l’avais revu mais étant donné que mes actes ne coheraient pas vraiment avec mes paroles c’était tout à fait normal qu’elle doute de ma sincérité. « C’est parce que je suis faible et que je n’ai pas su résister aux charmes de Naïs. Je sais que c’est irrespectueux par rapport à ma copine et par rapport à toi aussi malgré le fait qu’on ne se devait rien jusqu’à là mais je n’peux pas retourner en arrière alors je te demande juste de me laisser une seconde chance » Je ne contestais pas ses autres reproches sachant pertinemment qu’elle avait 100% raison. Je l’avais donc laissé finir alors qu’elle m’expliquait que mon comportement vis à vis d’elle était incompréhensible. « Et si tu ne veux pas me pardonner je comprendrai car tu mérites beaucoup mieux que moi mais sache que si je n’peux pas t’avoir, je ne laisserai personnes d’autres t’avoir. » Concluais-je avant de plonger mon regard dans les siens, prenant sa main au même moment comme signe d’affection.

Je l'écoute et évidemment que tout ce qu'il me dit me fait plaisir, mais je me retiens de sourire, de lui adresser toute marque d'affection parce-que effectivement, je trouve ça irrespectueux pour moi, comme pour sa copine. "En fait jusqu'à maintenant, je ne trouvais pas ça irrespectueux ton comportement. Seulement, tu peux pas me dire tout ça après avoir embrassé une autre fille. Ca veut dire quoi ? Que demain, tu as beau être attaché à moi tu iras voir une autre personne par simple plaisir charnelle ?" Ca ne marche pas comme ça les sentiments, pas pour moi. Il me demande de lui laisser une seconde chance et m'attrape la main après m'avoir affirmé que personne ne m'aura s'il n'y arrive pas. Je baisse naturellement le regard, quelques secondes. "Je ... j'arrive pas à croire que tu me sortes tout ça avec ce que tu fais, Stan." Il se rendait surement pas compte des mots qu'il utilisait, ou alors de la situation. "Dis moi clairement ce que tu veux." Je plante mon regard dans le sien, éloignant ma main de la sienne.

J’essayais tant bien que mal de rassurer Ajeya par rapport à mes sentiments même si avec ce qui s’était passé avec cette après midi avec Naïs faussait légèrement mes paroles. D’ailleurs elle ne manquait pas de me le faire remarquer et de montrer les craintes qu’elle pouvait avoir à mon égard et que malgré mon attachement j’allais toujours voir ailleurs « Jusqu’à maintenant toi et moi on a pas été en couple donc j’avais pas vraiment à te devoir quelque chose sachant que toi comme moi refoulions nos sentiments mais fais moi confiance maintenant ça sera différent. » Et j’étais honnête. Elle déclara ensuite ne pas arriver à croire à mes paroles en finissant par me demander ce que je voulais vraiment. « J’te veux toi Ajeya, rien que toi. » Je crois que là, je n’pouvais pas être plus clair que ça.

Nous n'étions pas en couple, c'est une chose. Mais nous n'avons donc apparemment pas la même façon de voir les choses, puisque personnellement, jamais je n'irais embrasser une autre personne si je suis attirée par quelqu'un d'autre. Ca me paraît impossible. "Ce sera différent jusqu'à ce que tu croises une autre jeune femme ?" Après tout, il était amoureux de sa copine avant de rentrer ici, non ? Je lui demande par la suite ce qu'il veut et évidemment, il me répond moi. Je souffle un peu, plantant par la suite mon regard dans le sien. "Il va falloir que tu le prouves, tout ça." J'étais pas facile à avoir et à amadouer, il le savait. Maintenant que ses sentiments étaient apparemment avoués, il avait toutes les cartes en mains pour le prouver et arrêter de faire le con.

« Arrête. » Rétorquais-je en coupant la jeune femme qui ne faisait jusqu’à maintenant que penser au négatif. Ça allait être difficile de gagner sa confiance mais j’étais prêt à faire un effort si de son côté tout était clair pour elle. « Alors si vraiment ce que tu veux toi aussi c’est moi alors j’te promets de tout faire pour te prouver que je suis celui qu’il te faut. » Juste fallait pas qu’elle me fasse perdre mon temps, on en avait déjà assez perdu comme ça et aujourd’hui j’étais arrivé au point mort. Elle avait conclu sur le fait que je devais prouver tout ce que je lui avais dis et c’est naturellement que j’étais venu poser ma main sur sa joue, la caressant doucement pour lui montrer que j’étais là et que cette fois-ci j’allais tacher d’être droit. « Vas-y bouge faut pas que tu restes prêt de moi j’vais avoir envie de t’embrasser sinon. » Declarais-je en riant. Ouais c’était pas bon tout ça surtout que j’avais l’impression qu’elle avait envie de me faire galérer et c’était justement ce qui me frustrait.