Jour 48

Olaf vient, se sert une petite coupe de champagne... car ce matin, il en a un petit peu envie, et se casse.

J'attrape une pêche puis je quitte la pièce.

J'arrivais dans la pièce et je décidais de faire des crêpes pour tout le monde.

Une fois mes crêpes terminées je les mettais dans une assiette que je mettais sur un plateau avec des confitures, du nutella, du sucre et des couteaux. Je prenais la plateau et je partais dans le salon.

Je récupère du poisson, des pommes de terre, et je commence à faire frire le poisson et à couper les patates en lamelles pour en faire des frites.

Ça sent le poisson. Ça j'en suis pas fan personnellement. Mais je viens surtout pour parler avec quelqu'un. Heureux ? Il est demi-finaliste. Quelle chance il a n'est-ce pas ? Ce sas promet de bonnes sensations fortes.

Shiva me rejoint tandis que mon poisson finit de cuir, je le mets dans une assiette et jette mes pommes de terre dans la friture. « Non, pas spécialement heureux, avec ou sans SAS j'aurais accédé à la demi-finale. Je vois pas pourquoi je me réjouirais de passer par le chemin facile ». En soit, c'était l'assurance d'aller en demi finale, et pourquoi pas jusqu'en finale, mais ou était le mérite ? « C'est toi qui devrait être heureux, un adversaire de moins dans le SAS ». Car oui, Pénélope n'était pas un adversaire. Finalement il confie que ce SAS promet des sensations fortes. « Pourquoi ? T'as peur de ne pas finir premier cette semaine ? » je lui demande alors que de plus en plus Shiva s'impose en grand favoris pour cette onzième saison.

Shiva se laisse aller à une réalité criarde : celle qu'il ne finira par premier du SAS de cette semaine. Au fond, difficile de dire s'il aura raison ou non, mais dans tous les cas, le combat sera plus difficile que les semaines précédentes. Finalement, il relance une vérité générale ou il dit que dans tous les cas, lui, n'a pas emprunté un chemin facile. « Ca, c'est clairement le moins que l'on puisse dire oui, mais t'étais là pour ça après tout ». Je mange mon repas en même temps qu'on discute. « L'avantage c'est que tu pourras t'en vanter ». Je termine mon assiette plus vite que prévu parce que Quentin est allé se coucher, puis je salue Shiva et finis par quitter la pièce en déposant mon assiette dans l'évier.