Direction la chambre !

J'étais à mon étage lorsque je comptais prendre l'ascenseur, téléphone en main, j'appuyais sur le bouton avant de commencer à envoyer des textos, la porte s'ouvrit au bout de quelques secondes, j'entrais dans l'ascenseur sans pour autant remarquer qu'il y avait quelqu'un, bon, il faut dire que j'étais concentrée sur mon téléphone. J'envoyais donc le message avant de relever ma tête et de voir James. « Oh » J'allais sortir mais trop tard, la porte était fermée. Je soupirais alors légèrement.

Il manquait plus que ça, tiens. Je ne préférais ne rien dire et m'occuper de mes messages, je lâchais un petit rire en racontant cette situation à ma meilleure amie.

Oh il avait des couilles ? Il était temps qu'il parle, hein. Je fus surprise quand même sur le coup. « Je ne sais pas, ça dépend de toi. » J'envoyais un nouveau texto à ma meilleure amie, pour lui dire que James m'avait enfin parlé.

Qu'est-ce que je lui ai fais ? Je soupirais. « Putain, tu vas pas recommencer avec ça, merde ! C'était un jeu, j'ai jouée, point barre. » On me reproche de jouer, maintenant. Et puis quoi encore ?

« Ouais et alors ? » C'est le genre de réponse qui font taire les gens, mais bon avec James, je sentais que ça allait être différent.

« Pas qu'à la France entière, hein. » Oui, le monde est au courant maintenant.

Je revenais de la piscine, m'étant baigné nu comme d'habitude, je mis ma serviette autour de ma taille, pris mes lunettes de soleil, ma pomme et appuya sur le bouton de l’ascenseur. Je rentrai dans l’ascenseur dans lequel deux personnes de la saison 6 étaient... Ils discutaient... Moi au fond de l’ascenseur je me faisais chier, c'était horrible, ils se cherchaient en quelque sorte, moi je mangeai ma pomme... Puis le petit embrassa la blonde, je suis là moi merde !... Et puis l’ascenseur arriva à mon étage... je descendis dans la précipitation.

J'étais comme ça, s'il ne m'aimait pas, c'était son problème. Il reprit ensuite en me disant que c'était mon physique qui me sauvait, j'haussais les épaules et je me fis plaquer contre le mur, le jeune homme m'embrassait, alors. Il me traitait de salope et m'embrassais après ? On voit le genre d'hommes qui aiment les salopes. Je le poussais. « Je suis peut-être une salope, mais je ne suis pas aussi facile qu'avant, d'accord ? » Il n'y avait pas écrit Marion ou Aby-Gaëlle sur mon front.