Jour 45

Normal que l'ascenseur soit bloqué banane, les courants sont coupés. En me promenant dans la maison, je tombe comme par hasard au septième... et je l'entends. J'arrive donc à forcer les portes. « I'm here bb. ». Bon, par contre, est-ce que je le laisse sortir, ou est-ce que j'entre en les refermant aussitôt ? J'ai la dalle, donc ça va être la deuxième option. « Je mène la danse. ». Aucune chance d'être dérangé, donc immédiatement, je le plaque sur la paroi, je l'embrasse et je commence à caresser son corps.

Coco arrive à ouvrir les portes depuis l'extérieur et préfère me rejoindre, refermant sur nous les portes de l'objet métallique, bloqué par la coupure de courant. Je le laisse promener ses mains un peu partout sur mon corps alors que la chaleur augmente au sein de l'ascenseur. Dans un soupire d'envie, je lui retire son tee-shirt, mord son lobe d'oreille et caresse du bout de mon nez son cou, passant ma main dans ses cheveux et l'autre dans son dos. Alors vas-y, fais moi danser.

Tu veux que je te fasse danser mon chou ? On va danser, crois moi ! Il caresse mon corps pendant que je caresse le mien, et je ressens ses chatouilles, il parvient à me toucher en plein coeur. Il sait comment me dompter... bien qu'aujourd'hui, c'est moi qui vais le dompter. Le plaisir continue, et lorsqu'il caresse mon cou avec son nez, je mordille légèrement le sien. Je fais tourner ma langue autour de sa peau, et je finis par le déshabiller en même temps. Je commence par le haut, je m'attaque ensuite au pantalon... puis enfin, le meilleur pour la fin : le boxer. Je lui enlève délicatement, en faisant bien attention à malaxer ses fesses lorsque mes mains y passent, puis les choses sérieuses peuvent commencer.

Je lui arrache son boxer avec les dents après qu'il m'ait mis à nu. Je l'embrasse, langoureusement. Heureusement que Léna n'est pas là pour le voir, paix à son âme. Il veut prendre les commande, je le laisse alors faire. Je me retourne, collant mon torse à la paroi froide de l'ascenseur. Je me vois dans le miroir, et je le vois derrière moi en train de me regarder. Si tu attends une autorisation Coco, je t'en prie, vas-y. Donne tout ce que tu as.

Moi, demander une autorisation ? C'est mal me connaître. Après l'avoir sauvagement embrassé, les choses sérieuses commencent. Pendant que les va-et-viens commencent, je lui mords le cou comme il aime. Ni trop fort, ni trop doucement. Juste ce qu'il faut pour qu'il prenne son pied. En même temps, je passe une main sur ses cheveux, et l'autre au niveau de son entrejambe... puis je lui procure ce qu'on appelle un double plaisir. « Fais promener tes mains... », lui susurré-je à l'oreille. Va-t-il comprendre ?

Il adore agir aussi avec ses mains et c'est pas pour me déplaire. J'exécute sa demande et passe une main sur sa fesse, appuyant fort comme pour lui dire de ne pas se retirer de moi. J'aime les contact prolongés, les contact proches, très proches, à la limite du trop près. Il continue tout en me mordillant le coup. Ça m'en donne la chair de poule et ma deuxième main vient se placer sur son bras droit, celui là même qu'il est en train d'utiliser pour m'astiquer. Je le caresse alors qu'il se montre de plus en plus bestial. Je ne résiste pas, je cherche même à ce que ça dure, que ça ne s'arrête pas.

Il a compris, je suis trop content. Double pénétration pour nous deux, on aime, on aime, on aime. Je continue mes deux vas et viens, et il place sa main sur mon bras, comme pour m'aider à y aller plus facilement. On y va avec passion, avec mon nez, je lui caresse la joue droite... je monte, je monte, et je commence à lui mordiller l'oreille, maintenant. Je crois qu'il n'est pas parfumé... son parfum naturel fait monter mon excitation. Il sent bon, j'adore. Je n'ai pas envie que ce moment s'arrête, donc je continue, je continue, et je continue encore.

Et ça continue, et ça continue. On ne s'arrête pas et je pense que c'est bien parti pour durer. À force on commence à être résistants, l'un par rapport à l'autre, on connaît les mécanismes de chacun et même si on joue avec les nerfs de l'autre on arrive à se contenir pour faire durer le plaisir. Et qu'est-ce que c'est bon. Oh... Je ferme les yeux alors que je le sens me mordre l'oreille. Je me plaque davantage contre la paroi de l'ascenseur, me retrouvant presque serré et à l'étroit entre la paroi et Corentin. L'action est intense. Continue... encore ... encore.. oh... Nos corps se touchent, s'entrechoquent, le bruit des va et viens se fait de plus en plus fort. Oh...

A nous deux, on arrive à faire bouger la cage, on y arrive. Cette sensation renforce davantage l'excitation. Elle est la preuve de la bestialité qui nous connecte actuellement. On est en transe, on est à fond dedans, et on compte bien continuer et durer. Il lâche des soupirs, j'en lâche aussi... des soupirs plus forts les uns que les autres. Il m'ordonne de continuer... « Ah... ah... ah... ». On est là, on transpire, on a chaud, on est chauds, on y va de plus en plus fort, mais ça continue, et ce n'est pas près de s'arrêter.

Et ça continue. C'est rude, ça fait mal, mais c'est bon. Plus habitué aux femmes depuis que je suis ici c'est l'inverse et je suis content d'avoir trouvé Coco dans ma dimension. On se comprend mutuellement ... et voila que c'est toujours plus fort et toujours plus loin. Des cris commencent à venir rythmer cet acte Si intense. Oh...Oh...Oh... Aaaah ... Je ferme mes yeux et je serre les dents, ainsi que mes mains qui se baladent encore sur Corentin. Je nous vois dans le miroir. Je suis rouge. J'ai chaud. J'ai mal. J'adore ça...

Il a mal, le petit, ça se ressent. Il hurle, il hurle, il hurle, et je continue. Je passe mes lèvres sur ses épaules, je me fais plaisir. « Aaaaaah... ». J'adore son corps, j'adore son odeur, j'adore son toucher. C'est le partenaire sexuel parfait. On est là, on dure, on transpire, on donne tout ! Jusqu'à l'orgasme final... le meilleur moment, l'extase. Je me laisse alors aller, et je me laisse tomber... « J'ai adoré. ». Je reprends peu à peu mes esprits, puis à ce moment là, on est appelés au salon. Je force alors les portes, puis on sort. On va prendre les escaliers, cette fois, ce sera plus sage.