Jour 08

Je me lèèève !

Debout !

J'entre dans la chambre, commençant à rassembler mes affaires près de ma valise sans broncher et énervée.

(tenue)
Je suis tellement heureuse d'être une nouvelle fois non-nominée que j'ai décidé de marquer le coup en m'habillant bien. Entendant du bruit, j'entre alors dans la chambre confort afin de voir qui est présent... puis je vois Ajeya. « Qu'est-ce que Stan est craquant... ». Faisons mine que je ne l'aie pas vue. La vraie Vanessa s'est un peu endormie, ces derniers jours, et il faut qu'elle reprenne du poil de la bête. Il faut que je me révèle comme aux premiers jours, et que j'enchaîne les coups de Trafalgar.

Je termine de ranger mes affaires, comme ça ce sera fait. Je doutais quand à mes capacités à rester dans cette ferme si le public venait à m'exclure de la course à la finale. Donc dans le doute, je préférais faire mes valises. Vanessa entre dans la pièce, je l'observe quelques secondes avant d'esquisser un fin sourire alors qu'elle lance une petite remarque concernant Stan. "N'est-ce-pas ?" Lui demandais-je amusée. Je ne suis pas du genre jalouse, du moins dans la limite du raisonnable évidemment. J'ai assez confiance en moi pour savoir ce que je vaux, et il était évident que Vanessa ne me faisait pas peur. Puis après une semaine passée ici, je commençais à comprendre le personnage et je ne prenais en aucun cas ce genre de répliques au sérieux. Elle peut le penser, c'est même flatteur pour moi aussi, ca m'est égal.

Je croise les doigts pour qu'elle réagisse au quart de tour et se victimise, comme elle sait si bien le faire. Mais au final, non. Elle me propose même d'acquiescer. Très bien... passons à l'étape supérieure, alors. « Dans ce cas, vous ne verriez aucun inconvénient à ce qu'il m'offre un massage. », dis-je tout sourire. Ajeya ne m'impressionne absolument pas. J'en ai brisée des plus coriaces. « Vous savez... on m'appelle la femme parfaite. ». Et ce n'est pas son cas. J'ai l'expérience et le savoir faire. La gente masculine n'a plus de secret pour moi. Les hommes succombent facilement à mon charme. Je me tourne ensuite vers elle, et d'un regard intéressé, j'ajoute : « J'aurais une proposition à vous faire. ».

A sa question, je laisse s'échapper un doux rire, fronçant doucement les sourcils. "Dès que vous trouvez un homme craquant ou à votre goût vous voulez être massée ?" Je fais une légère moue, amusée. "Et vous comprendrez que personnellement, ça me dérangerait de voir mon petit ami masser une autre femme que moi." Après tout, ça c'était normal ? Qu'ils se parlent, qu'ils soient même amis ne me dérange pas. Mais si ça commence à parler de contact physique, c'est tout de suite un peu plus gênant et je pense que c'est normal. Pourtant, je lui réponds très gentiment, sans une once d'agressivité ou de mise en garde car je n'en vois pas la nécessité. On l'appelle la femme parfaite ? Je hausse doucement les épaules. "Je ne peux apparemment pas vous contredire là-dessus. Vous semblez faire de bons repas, vous vous occupez bien des animaux de cette ferme.." Donc ça commence bien par là pour être une femme parfaite, non ? Enfin, selon la vision de certains évidemment puisque tout est relatif au final. Elle plante ensuite son regard dans le mien, prête à me faire une proposition. Je laisse doucement tomber une pile de vêtements dans ma valise, posant à mon tour mon regard sur Vanessa, posant une main sur mes hanches. "Je vous écoute ?"

Lorsqu'elle m'avoue que ça la dérangerait, je ris un coup. Elle est très maline, et c'est ça que j'aime chez elle. Car au final, entre nous deux, c'est de bonne guerre. « Vous savez... les hommes sont faibles. Je suis convaincue que vous savez autant que moi qu'on peut mener ces êtres par le bout du nez. ». Et là, je ne parle pas de Stan, mais bel et bien des hommes en général. Il est en réalité très facile de les manipuler. « Ils sont tellement aveuglés par leur égo qu'il suffit de les brosser dans le sens du poil pour arriver à ses fins. ». Et je suis certaine qu'elle acquiescera. Elle comme moi sommes de vraies femmes. « Par exemple, regardez Pénélope et Anil. Aujourd'hui, ils roucoulent... mais supposons que demain, une personne comme moi, vous ou encore Naïs lui fasse du charme. Pensez-vous sincèrement qu'il restera fidèle ? ». La réponse est non, de mon côté. Si j'ai renoncé depuis longtemps à me caser avec un homme, et si je prends aujourd'hui du plaisir à exploiter leurs faiblesses lorsqu'ils sont en couple, ce n'est pas pour rien. L'homme est très naïf. Elle parle ensuite de ma capacité de femme parfaite en attaquant le fait que je fasse le ménage. « Allons allons... vous savez aussi bien que moi qu'ici, pour réussir, il faut mettre la main à la pâte... et pourtant, je suis une femme très snob. ». Si l'on regarde ma manière de séduire, ma posture, mon attitude, je suis une femme parfaite. Il n'y a aucun doute là dessus. Passons maintenant à ma proposition. Elle pose une main sur ses hanches et m'avoue m'écouter. Je marche le long de la pièce. « Le savez-vous ? Une adversaire redoutable est parmi nous. Et il ne s'agit ni de Pénélope, ni de Naïs, ni de Denise... mais bel et bien de Shelley. Elle est très active, elle ne communique avec personne, et ce, juste pour mieux nous la mettre à l'envers, et remporter l'émission. Nous discutons beaucoup des fortes personnalités, mais nous en oublions presque ce type de personne. Il faut vivement se méfier de l'eau qui dort. C'est pourquoi je propose qu'on allie nos charismes afin de la réduire à néant. ». C'est un danger non négligeable dans le jeu, et il ne faudrait pas qu'on se rate.

So ! J'entend la conversation qu'elles ont lorsque j'entre dans la chambre. Voudriez-vous une part de gâteau ? Il en reste encore beaucoup. J'imagine que pour parlez stratégie ça peut aider à remettre les idées en place, de manger un bon gâteau.

Les hommes sont faibles. Elle me sort un petit speech sur la puissance de la femme sur la gente masculine. Je hausse doucement les épaules. "Je pense que ça dépend des femmes qu'ils ont face à eux." Soyons honnêtes, certaines n'arriveront jamais à dresser comme il se doit un bâtard en un parfait gentleman. Me concernant, je ne considérais pas Stan comme quelqu'un de faible et j'avais confiance en lui de part nos différentes conversations et différentes aventures passées ensemble. Cependant, il y a une chose sur laquelle je ne vais pas la contredire. "Mais évidemment, les femmes sont plus fortes, puissantes." Du moins, si elles s'en donnent les moyens. Personnellement, jamais je ne me laisserais marcher dessus par un homme et jamais je n'accepterai mille et une choses par amour. No way. Elle prend ensuite l'exemple d'Anil et Penny. Un couple pour lequel je suis, finalement, contre après différents événements survenus au sein de cette ferme. "Je ne sais pas vraiment quoi penser d'Anil, même si effectivement, pour moi il n'a rien d'un homme." Du moins, de la définition de laquelle je me fais d'un homme. Résisterait-il à mes charmes ? A ceux de Vanessa et à Naïs ? Je hausse les épaules, légère moue. "Ce que je sais en tout cas, c'est que lors du premier prime, il n'était pas mécontent de rencontrer Naïs." Lançais-je amusée, passant une main dans mes cheveux bruns. Je la complimente ensuite sur ses exploits au sein de la ferme et elle semble prendre cela comme une plaisanterie alors que pas du tout. Je trouvais sincèrement son travail ici assez exceptionnel puisque je ne m'attendais pas à ça d'elle en la voyant débarquer. "Certes, mais pour une novice dans ce genre de choses, vous vous en sortez très bien." Il faut savoir reconnaître les choses et on ne pouvait au moins pas lui enlever ça, à Vanessa. Elle me parle ensuite de Shelley et j'admets être surprise puisque je ne considérais honnêtement pas la jeune femme comme un danger. Je fronce donc les sourcils, haussant doucement les épaules. "Si ça peut retarder ma sortie de la ferme par la suite, je suis de la partie pour la mettre en danger." Affirmais-je dans un premier temps. "Mais avant cela, il faut que je sois sauvée par le public demain soir." Je ne veux pas signer de pacte officiel sans être certaine d'être encore en compétition. "Mais je suis d'accord pour dire qu'elle doit être évincée. Je l'aurais personnellement mauvaise d'être éliminée avant elle." Ou encore Miguel, Anil ... Mais je préfère me taire sur ces noms actuellement puisque l'un est le petit ami de ma meilleure amie et l'autre semble plutôt proche de la femme face à moi. Denise entre par la suite dans la chambre et me tend une part de gâteau. Elle semble toute joyeuse et je ne comprends pas pourquoi. C'est vrai, elle a passé son début d'aventure à s'acharner sur moi, pourquoi être mielleuse maintenant ? Je décide donc de hocher négativement et doucement la tête à sa proposition de gâteau avec un bref sourire pour rester polie.

« J’dérange ou quoi ? » Déclarais-je en débarquant dans la chambre. Les filles avaient l’air d’avoir une discussion intéressante alors. Naturellement, je me laissais tomber sur l’un des lits, essayant de comprendre tant bien que mal les sujets qu’elles entamaient.

Stan débarque et ça tombe bien parce-que je n'avais pas pu terminer ma discussion avec lui tout à l'heure. Alors qu'il demande s'il dérange, je hoche doucement et négativement la tête. "T'en fais pas, on parlait juste entre femmes." Lui dis-je, lui adressant un léger sourire avant de me poser près de ce dernier après avoir refermée ma valise. Je m'approche de son oreille, lui chuchotant discrètement. "Tu arrêtes avec ton sale caractère ..?" Lui lançais-je avec mon petit sourire habituel, avant d'ajouter. "Je suis désolée si je t'ai .. frustré hier soir." M'excusais-je discrètement, plantant mon regard dans celui du beau blond.

Evincer Shelley, ou celle qui m'a jeté dans le Sas la tête la première, et qui a menacé de mort Piggy. Je souris déposant une part de gâteau à Vanessa qui ne répond pas, et ne donne pas la seconde part à Ajeya puisqu'elle n'en veut pas. Good. Si je reste là, c'est avant tout pour montrer que, malgré les différents que nous avons toutes les trois, les unes avec les autres, je suis intéressée par l'idée de la doyenne.
Puis Stan arrive. Est-ce que you want une part de gâteau ?

Ajeya me répondit qu’elles parlaient juste entre femmes avant de s’asseoir à mes côtés et de me chuchoter à l’oreille d’arrêter de bouder et qu’elle était désolé de m’avoir frustré hier. Un sourire de satisfaction s’était automatiquement dessiné sur mes lèvres, la regardant quelques secondes sans rien dire, j’hochais finalement la tête positivement avant de déclarer « Très bien. » petite pause avant de reprendre « J’te pardonne. » Bien entendu, j’avais bien d’autres tours dans mon sac pour me venger et lui rendre la pareil mais ça, on allait régler ça en privé. Puis Denise me proposa une part de gâteau, inspectant ce qu’elle avait un moment je le regardais pas très serein afin de lui répondre « Non merci j’ai déjà mangé. » Mdr c’est pas comme ça que tu m’empoisonneras chérie.

Ajeya me dit que l’attitude des hommes dépend de la femme qu’ils ont en face d’eux. À ce moment là, je pose une main sur son épaule, comme pour être compatissante « Ma pauvre... si vous connaissiez le nombre de femmes qui tenaient ce genre de discours et dont les maris ont terminé dans mon lit... ». Elle n’a pas encore l’expérience suffisante avec la gente masculine, ne lui en voulons pas. J’acquiesce ensuite lorsqu’elle me dit que les femmes sont plus fortes. « Les hommes sont aussi faciles à manipuler que des enfants en bas âge. ». Et Dieu sait à quel point je déteste les enfants. Elle m’avoue ensuite qu’Anil n’était pas mécontent de rencontrer Naïs. Merci Ajeya, je garde cette information dans un coin de ma tête. Elle me complimente sur mes actions dans la ferme. Je la remercie et lui retourne le compliment. Elle et moi sommes un peu pareilles, au fond... et c’est peut-être cela qui fait que l’on a du mal à s’entendre. Elle est d’accord pour évincer Shelley ? C’est parfait. Dès demain soir, ça va barder. Denise propose du gâteau, j’accepte en la remerciant et j’en prends une part. J’ai faim. « Je suis assez fatiguée, donc je vous souhaite une excellente nuit. ». Ne jamais oublier qu’être polie peut assurer une immunité. Je salue Stan que je croise en sortant de la chambre, puis je pars dormir.

Stan affirme me pardonner et à sa manière de réagir honnêtement j'admets être un peu vexée. La prochaine fois, je ne ferais pas cet effort si c'est pour être prise de haut ainsi. Je me mets donc en sous vêtements devant les autres, n'ayant rien à cachée et m'installe doucement sous la couette, posant ma tête sur le torse de Stan. Je dépose furtivement mes lèvres sur les siennes. "Bonne nuit." Lui dis-je sans être ni trop sèche, ni trop gentille. J'écoute les discussions avant de m'endormir petit à petit.

M’installant plus confortablement dans le lit, retirant par la même occasion mes vêtements, Ajeya posa une dernière fois ses lèvres contre les miennes avant de me souhaiter bonne nuit. Arquant les sourcils, j’avais senti une pointe d’énervement dans ses paroles. Me redressant donc pour mieux l’observer, je déclarais « Arrête bébé, j’te taquine juste. » Fallait pas qu’elle le prenne pour elle, j’essayais juste de la titiller en vérité.

Je quitte donc la chambre en espérant très fort dans ma tête que Stan et sa gentillesse légendaire s'en iront dormir la queue entre les jambes demain soir après l'annonce de son éviction. La bise et bonne nuit. C'était le pire birthday de toute mon existence.

Denise quitte la chambre et je me retrouve avec Stan que je sens penché près de moi, affirmant qu'il me taquinait juste. Je fais une petite moue, passant une main dans mes cheveux. "Je sais .." Soufflais-je un peu avant de planter mon regard dans le sien. "Je pense simplement que les conditions de cette ferme me tapent un peu sur le système .." Lui confiais-je alors que l'une de mes mains caressent tendrement le torse bien dessiné sur beau blond.

Elle était au courant qu’il n’y avait aucun mal dans ce que je faisais ajoutant par la même occasion que c’était les conditions de la ferme qui lui tapais sur le système. « Il nous reste plus qu’une semaine à tout casser et après, on pourra profiter de notre nouvelle vie à deux. » déclarais-je à la belle brune pour la rassurer avant de monter à califourchon sur elle et d’à nouveau poser mon regard sur le sien « Taleur tu m’avais dit que j’avais perdu ma langue non ? Eh bien je sais où elle se trouve. » soufflais-je malicieusement alors que je venais embrasser chaque parties sensibles de son corps en commençant par son cou. Je descendais petit à petit jusqu’à son entre jambe où j’avais tenu à faire tomber sa culotte avant d’y passer ma langue pour lui procurer un plaisir qui pourrait lui faire oublié la mauvaise journée qu’elle venait de passer.

Je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire alors qu'il me rassure en me disant qu'il reste une simple petite semaine à passer ici avant de profiter par la suite de notre nouvelle vie, à deux. Dit comme ça, c'est sûre, ça fait rêver je l'accorde. "J'ai déjà hâte." Lui soufflais-je à l'oreille, avec un petit sourire alors que le beau blond se retrouve à califourchon sur moi et me lance une petite remarque concernant mes paroles de tout à l'heure. Je comprends très vite où il veut en venir et je passe naturellement mes mains dans ses cheveux alors que ses lèvres parcourent délicatement mon cou avant de descendre plus bas, s'attardant à mon entrejambe. Beaucoup de questions défilent dans ma tête mais je préfère tout refouler, j'ai envie de profiter, de prendre du plaisir et de me faire plaisir. Je laisse s'échapper de doux souffles de plaisir avant de remonter le jeune homme, inverser nos positions, déposer mes lèvres sur son torse, descendant à mon tour petit à petit vers son boxer que je descends plutôt rapidement. Mes lèvres se posent sur son membre, et j'en profite pour faire quelques vas et viens alors que je sens les mains du jeune homme agripper mes cheveux et quelques souffles de plaisirs sortir de ses lèvres.

Alors que ma langue dansait dans sa verge et que j’essayais de lui procurer le plus de plaisir possible, mon doigt s’était finalement glissé jusqu’à son clitoris faisant des mouvements circulaires avec douceur. Finalement les positions s’étaient inversées et en moins de quelques secondes, mon membre déjà bien tendu s’était retrouvé entre les lèvres de la belle indienne pour mon plus grand bonheur. Ses vas et viens me procuraient un plaisir fou et se fut tout naturellement que j’avais agrippé avec mes mains ses cheveux pour la guider dans ce qu’elle entreprenait si bien. Soupirant de plaisir je décidais de changer une nouvelle fois nos positions me retrouvant encore une fois sur elle. Mordant doucement sa lèvre inférieur, j’avais glissé mes lèvres jusqu’à son oreille pour lui souffler quelques mots rempli de désirs « Hm.. À nous deux. » Prenant mon sexe en main, je caressais l’entrée de sa verge avec tendresse, lenteur et exaltation lui laissant le temps de languir doucement, lui faisant perdre patience par la même occasion avant de déclarer « Et si on en restait là pour ce soir ? » La voilà ma petite vengeance. 1 partout bébé.

Je ne pensais à rien d'autres que nous deux et ça faisait du bien. Le fait d'être seule avec lui et de partager ce moment intime. L'un de ses doigts pénètrent avec douceur et je ne laisse s'échapper à nouveau quelques souffles de plaisirs et désirs. Je n'avais évidemment pas oubliée à quel point il savait me faire languir et aimer ça, mais c'était une très belle piqûre de rappel, je l'avoue. Finalement, nous inversons nos positions et je me retrouver en position de force, sur le beau garçon. Mes lèvres descendent petit à petit jusqu'à son membre, me laissant aller à quelques vas et viens s'accélérant au fur et à mesure de ses quelques souffles. Par la suite, je me relève doucement alors que le jeune homme reprend une nouvelle fois le dessus. J'esquisse naturellement un sourire alors qu'il vient chuchoter quelques mots à mon oreille. Je sens son membre caresser mon entrejambe avec douceur alors que mes mains se perdent sur le corps du beau tatoué. A sa dernière réflexion, je ne peux m'empêcher de laisser s'échapper un souffle et rire nerveux, avant de poser mon regard dans celui du beau blond, posant mes mains sur son torse et le poussant de l'autre côté de lit, remettant correctement la couette. Je comprends très bien le pourquoi-du-comment de cet arrêt soudain. "J'espère que tu es prêt à te servir de ta main droite pendant encore une semaine." Lui lançais-je, en faisant mine de plaisanter, mais on peut évidemment sentir une petite pointe de déception et de rancœur dans ma voix en même temps. Je me retourne après avoir simplement lancé un petit .. "Fais de beaux rêves." Je m'endors finalement petit à petit, dos au beau blond.

Je n’avais même pas eu le temps de réagir qu’Ajeya m’avait déjà poussé me faisant retomber de l’autre côté du lit. Je l’avais prévenu, j’avais l’esprit vengeur et ce que je venais de lui faire ce soir était simplement un avertissement sur ce qu’elle pouvait subir avec moi si ce genre de choses se reproduisaient. Mais c’était à la fois très excitant, j’aimais ce côté pimenté qu’avait notre relation et malgré le fait que nous n’avions pas fini ce que nous avions commencé ce soir j’étais persuadé que la prochaine fois serait.. bestiale. Ricanant doucement lorsqu’elle m’avait tourné le dos me balançant par la même occasion qu’il fallait que je sois prêt à me servir de ma main droite encore une semaine, j’enfilais mon boxer avant de poser mes lèvres sur sa joue et de lui susurrer « Bonne nuit bébé. » Qu’est-ce que j’la kiffais putain.

#Dodo

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