Jour 43

Je me réveille aux côtés d'Olaf, hier, notre conversation s'est terminée alors que je m'étais endormi sans prévenir, entre deux mots, bercé par les bras et le parfum de l'Allemand. Je suis le premier à ouvrir les yeux. La nuit a été douce, reposante, plongée dans l'ambiance limpide et fraiche des soirs d'été. Je m'extirpe doucement des couvertures, dépose un léger baiser sur son front, puis je rentre à l'intérieur de la maison.

La nuit a été paisible, sans vent, sans tempête, sans orage. Seule la douceur était au rendez-vous. Ce premier moment à deux était simplement magique. Olaf s'en souviendra, c'est une certitude... il se lève et quitte le jardin.